🐄 Je T Aime Et Je Te Hais Parole

JeT'aime Mais Je Te Hais. 361 likes. Personal blog

D'accord je le confesse Accro de toi je reste T'es lĂąche, t'es grotesque Tu fais de moi une sombre peste Nos colĂšres, nos querelles Nos innombrables bassesses Comme veux-tu que je t'oublie ? T'es mon amour, t'es mon ivresse Je t'aime mais j'te dĂ©teste Je te quitte puis te regrette Je t'oublie et me rappelle Je prends la porte mais reste prĂšs d'elle Tu me dĂ©goĂ»tes, je te dĂ©sire Quand tu souris, je soupire J'ai dĂ©chirĂ© nos photos pour les garder en souvenir C'est bien parce que je t'aime Que j'te dĂ©teste Que je voudrais t'envoyer paĂźtre Tellement tu me prends la tĂȘte C'est bien parce que je t'aime Que j'te dĂ©teste Que je voudrais t'envoyer paĂźtre Tellement tu me prends la tĂȘte J'te dĂ©teste Et rien ne nous rapprochait Sinon nos candides diffĂ©rences Comme deux enfants liĂ©s Dans une romantique itinĂ©rance Comme deux fous, oui deux fous Trop fous pour y voir clair Dans la violence et la provoc Fais la paix pour faire la guerre Font l'amour pour ne pas se perdre Entre mensonge et promesse Comment veux-tu que je t'oublie ? T'es mon amour, t'es mon ivresse C'est bien parce que je t'aime Que j'te dĂ©teste Que je voudrais t'envoyer paĂźtre Tellement tu me prends la tĂȘte C'est bien parce que je t'aime Que j'te dĂ©teste Que je voudrais t'envoyer paĂźtre Tellement tu me prends la tĂȘte J'te dĂ©teste Oh mon pauvre type! Tu m'exaspĂšres Et je n'ai qu'une seule envie C'est de tout foutre en l'air Je te hais, mais je te aime Et plus je t'ai prĂšs de moi Et plus je me dis que j'ai merdĂ© quand mĂȘme Et si je ne peux plus te voir C'est bien parce que je t'aime Et si je reviens vers toi C'est que tu es mon plus beau problĂšme C'est bien parce que je t'aime Que j'te dĂ©teste Que je voudrais t'envoyer paĂźtre Tellement tu me prends la tĂȘte C'est bien parce que je t'aime Que j'te dĂ©teste Que je voudrais t'envoyer paĂźtre Tellement tu me prends la tĂȘte J'te dĂ©teste
\nje t aime et je te hais parole
Lamusique a un pouvoir incroyable. Elle te saisit. Te défoule. Te contient. T’accompagne. Te soulage. Te détruit. Merci @grandcorpsmaladeoff et @camillelellouche pour ce bijou.. et évidemment ne m’en voulez pas, impossible d’être à la hauteur de votre interprétation! #maisjetaime #Cover #song #Love #breakingheart Je te hais parce que
je t’aime par Attention Je t’avais aimĂ© au premier jour Quand t'avais ce fier sourire Tu ne voulais rien me dire ! Quand fier je te faisais la cour
 Je t’avais aimĂ©, comme je t’aime Ce jour oĂč tu m’as accordĂ© Le droit - te lire mon poĂšme Mon Dieu, tu as bien rigolĂ© ! Je t'haĂŻssais » quand tes deux nattes Fuyaient, habiles, dans mes mains ! Quand on jouait aux braves soldates Et j'approchais de tes petits seins 
 J’aimais bien cet Ă©rythĂšme Que faisait alors ton cou
 Nos cƓurs d’une Ă©nergie bohĂȘme Battaient, chamade, entre nous Je t’haĂŻssais » comme je t’aimais Ce premier jour oĂč t’es partie J’ai cru
 Le Monde s’écrouler !!! Rien ne s’écroula
tant pis ! Je t’haĂŻssais » d’un long espoir Que tu allais me revenir Devant ton balcon, chaque soir Je passais
 que tu puisses sortir Je t’haĂŻssais », parce que je t’aime L’éveil, jeunesse de mes amours Et ma question revient pĂ©renne - M’as-tu aussi, hais », un jour ? Je t’ai aimĂ© comme on se lĂšve D’un rĂȘve, oĂč on ne sais pas pourquoi La seule chose dont on rĂȘve C’est de voir l’ombre de tes pas Je ne savais pas oĂč toute haine » Soudaine, disparaissait toujours ! Se transformant en douce peine DĂšs que je touchais ton contour Quand je disais Ă  qui veut croire Que j’étais le seul qui t’haĂŻssait » Pour garder secrĂšte ! notre histoire J’étais si fier que l’on s’aimait
 















 II Parfois, trĂšs rare, je me balade Je cherche la trace de nos pas Le parc est lĂ , des jeunes s’enlacent De leurs portables, de leurs joies Ce vieil arbre, ils l’ont coupĂ© ! J'y suis, c’était par là
c'Ă©tait... Ô, ses racines me regardent ! J’esquive
 Ma tĂȘte soudain bavarde Non, je ne demande pas de tes nouvelles ! D’oĂč sorte maintenant ce drĂŽle d’idĂ©e ?! Je me balade. Et puis, qui, Elle ? DrĂŽle d’ haine » profonde
 Non ! Plus, jamais ! Les feuilles blondes de l’automne Tombent synchrones sur nos pas Elles doivent penser qu’encor je t’aime Attends que je maĂźtrise
 ma voix
 Il se fait tard, je vois maintenant Des ondes
 sorties d’un autre temps Toi, belle transe, Ă©lĂ©gance, Je te laisse ici, dans mon enfance Beau Souvenir
 ne m’attend pas
 PoĂšme postĂ© le 08/08/20 par Attention PoĂšte Avecparoles / Je t’aime / Je te hais; 26 Jan. Je t’aime / Je te hais. Objectifs : Etre Ă  l’écoute de soi-mĂȘme. Être Ă  l’écoute de l’autre. Travail de l’expressivitĂ©. DĂ©roulement : Les participants travaillent par couple face au reste du groupe (qui n’est pas passif mais actif dans son aide Ă  la concentration des deux personnes qui Ă©voluent). La consigne est simple
-33% Le deal Ă  ne pas rater Jumbee Roundnet – Jeu de plein air Ă  29,99€ € € Voir le deal MÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. GALERIES ET CREATIONS AuteurMessageJames VaInvitĂ©Sujet dĂ©sir et soumissions, entre fiction et rĂ©alitĂ©[ receuil] Ven 16 Juin 2006 - 2136 L'aveugle d'une souffranceLes coups, les larmes, le sangVoilĂ  ce que je vois en toiVoila ma souffrance si intenseTu as posĂ© ton regard sur moiJ’ai eu envie de mutiler ta chair, qui Ă©tait le fruit de ton corps en transeUne lueur mauvaise Ă©tait apparutMais toi tu n’avais rien vuTu ne vois jamais rien J’étouffeJe meurs un peu plus chaque jourMais ma peine est invisibleJ’ai l’impression que personne ne la voitMes regards Ă©tranges vers toiLes coups que j’endureLa vie n’est pas si douceLe bonheur n’est pas concentrĂ©Je n’arrive plus Ă  respirerJe ne peux que rester Comme un cadavre, ignominieJe resterai Ă  l’agonie toute une vieMa vie n’est que dĂ©ceptionJ’entends un bruit, un avionLa tĂ©lĂ©vision est allumĂ©Encore un Ă©crasĂ©Il n’y a que vous qui m’aillait redonnĂ© ce sourireEn votre douce compagnie je risPour la premiĂšre fois depuis des moisBien sur tu ne le vois pasTu me rĂ©pugneJe te haisEst ce normal maman ?Ce mot sonne fauxTu ne vois en moi que le reflet du pĂšre que tu as haĂŻe J’attrape quelques objetsJe te les lance au visageTu me ris au nezTu attrape un cordage Je le rĂ©ceptionneJe file dans ma chambre, mon seul refugeAvec cette cordeTu en payera les consĂ©quencesJe passe ma tĂȘte dans la boucleJe cris une derniĂšre paroleC’est la fin d’une vieMon corps sans rĂ©sistance tient quelques secondes dans les airs Et retombe lourdement Le piĂšge se refermeLa fin d'un souffranceLa fin d'un aveuglementTu ne pleureras meme pas Ă  ma mise en terreTu sourira comme jamaisje t'ai donnĂ© ce que dĂ©sirais tantMalheureusement...Les coups, les larmes, le sang ne seront plusRien n'abimera ton sol Ă  prĂ©sentPeu etre mon souvenir, qui sais...Maman, moi le mal aimĂ©, tu m'as poussĂ© dans un prĂ©cipice sans finMais Ă  prĂ©sent j'espere que tu souffriras comme j'ai souffertAdieu, le plus tard possbile...Voila, premier texte, soyait pas trop dur, j'ai juste Ă©crit avec mes doigts et parler avec mon coeur, rassurĂ© vous, l'integralitĂ© de ce texte n'est pas vĂ©ritable,voili voilou...DerniĂšre Ă©dition par le Ven 11 AoĂ» 2006 - 1655, Ă©ditĂ© 1 fois InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re dĂ©sir et soumissions, entre fiction et rĂ©alitĂ©[ receuil] Sam 17 Juin 2006 - 1223 ' Tain c'est vachement beau... J'te fĂ©licite, vraiment... C'est exactement ma situation et j'avais jamais rĂ©ussi Ă  l'exprimer, alors encore plus bravo... James VaInvitĂ©Sujet Re dĂ©sir et soumissions, entre fiction et rĂ©alitĂ©[ receuil] Dim 18 Juin 2006 - 1841 - Les souvenirs...-Tous ses riresVont-ils s’effacer ?Toutes ses joiesVont-elles disparaĂźtre ?Toutes ses priĂšresVont-elles ĂȘtre exhausser ? Un gouffre se formeEntre moi et la viePar ton dĂ©part prĂ©coceTu me laisses une nouvelle fois seulJe ne te reverrai Que dans mes rĂȘves et mes souvenirsJe t’ai dĂ©couverteA l’agonieTu ne vivras plusEt c’est ma fauteTu ne souriras plusEt j’en suis la causeAlors j’ai dĂ©cidĂ© de te rejoindreA jamaisJe ne te laisserai plus jamais seuleAvec tes Ă©motions et tes peursQui te dĂ©passentLe monde tourne sans nousAlors pourquoi dois-je rester ?J’ai finalement dĂ©cider de resterPour ta mĂ©moire, pour ton espritEt pour ma culpabilitĂ©Je veux pouvoir crier au monde entier Pourquoi tu as fait ce geste de dĂ©tresseAlors que tu n’avais rien ditA bientĂŽtToi que j’ai aimĂ©Et qui m’a laissĂ©Mais je reste pour toiComme tu l’aurais vouluJ’espĂšre que tu me voisEt que tu vois mes signesEn ta mĂ©moireJe retourne quand je le peux DĂ©poser quelques plantesUne roseUne pivoineEt une branche d’olivierSymbole d’espoirQue je garde pour toiDe vivre dans un monde meilleur
 deuxiĂšme texte, je prĂ©fĂšre le premier mais bo, je verrais bien^^Edit Khal' trĂšs joli aussi. J'aime bien... DerniĂšre Ă©dition par le Dim 18 Juin 2006 - 2145, Ă©ditĂ© 1 fois PsychĂ© AInvitĂ©Sujet Re dĂ©sir et soumissions, entre fiction et rĂ©alitĂ©[ receuil] Dim 18 Juin 2006 - 1942 Wahou tu Ă©cris super bien c'est trĂ©s trĂ©s beau !! James VaInvitĂ©Sujet Re dĂ©sir et soumissions, entre fiction et rĂ©alitĂ©[ receuil] Dim 18 Juin 2006 - 2149 merci beaucoup Khal et PsychĂ©, ça me fait vraiment plaisirce n'est que mon deuxiĂšme texte et j'espĂšre m'amĂ©liorer avec le tempsencore merci content que cela vous plaisent James VaInvitĂ©Sujet Re dĂ©sir et soumissions, entre fiction et rĂ©alitĂ©[ receuil] Lun 19 Juin 2006 - 1808 € La vie s’est arrĂȘter trop tĂŽt €Je ne te connaissait pasJe ne t’avais jamais adressĂ© la paroleJe ne t’avais jamais regarder dans les yeuxEt pourtant, j’ai pleurai pour toiComme tout le mondeParce qu’on peut tous en ĂȘtre victimeJe suis passer en touchant le murTout le monde pleuraiPour ta mortPour ta mĂ©moireToi qui avait une petite amieToi qui avait un frĂšreTa vie s'est arrĂȘter trop tĂŽtTout cela Ă  cause d'un connardTout cela Ă  cause d'un chauffardSuite Ă  cette nouvelleUne jeune fille est partieDans l'intention de se jeter d'une falaiseTu es mort, elle aussiPour toiPour ton espritElle t’a rejointTu seras moins seulOĂč que tu soisQuoi que tu fassesTon enterrement s’est dĂ©rouler en silenceSeul ta famille pleuraitMais moi je restaisAucune larmes ne coulaient sur mes jouesEt pourtant je l’aurai vouluVraiment
Pardonne moiSi j’avais su Si j’avais vouluSi j’avais pu
Mais les regrets ne font pas avancer les chosesAlors j’ai dĂ©cider d’accepterEt de vivre Pour toiEn l’honneur de ta mĂ©moirePour ton visage lumineuxCette journĂ©e est grisĂ©e de noirSur mon calendrierJe passe devant un murTon nom est marquĂ©Pour que personne n’oublieLe drame de cette journĂ©e pluvieuseLa mĂ©tĂ©o avait annoncĂ© le beau tempsLa pluie Ă©tait au rendez-vousHommage
histoire vrai, cela s'est passĂ© l'annĂ©e derniĂšre dans mon bahut, le prĂ©fĂšre les autres mais je voulais faire un hommage Ă  ses deux personnes qui ont pĂ©ris... Miley BranNombre de messages 804Age 30Maison SerdaigleAge du Perso 14 ansDate d'inscription 07/05/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP ModĂ©ratrice / Membre des 9FacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re dĂ©sir et soumissions, entre fiction et rĂ©alitĂ©[ receuil] Lun 19 Juin 2006 - 1849 C'est vraiment trĂšs beau, j'adore le premier et le dernier. Le dernier parce que j'ai "vĂ©cu" plus ou moins la mĂȘme chose dans mon Ă©cole...Vraiment trĂšs beau ce que tu Khal' Tu sais dĂ©jĂ  ce que j'en pense James... James VaInvitĂ©Sujet Re dĂ©sir et soumissions, entre fiction et rĂ©alitĂ©[ receuil] Mer 21 Juin 2006 - 1724 merci nathalieoui Khal', je crois savoir^^ bon nouveau texte €PaRdOnNe MoI€ Pardonne moiJe t’ai fait tant de malTant de peine  »Je rĂȘvais toute les nuits D’entendre ses motsA mon oreilleMais tu es restĂ© sourd Ă  mon appel
Toi, mon pĂšre, tu es partiNous laissantSans scrupulesAujourd’hui je suis Ă  la rueEt je t’appelleAujourd’hui je suis maladeEt je t’appelleMon mal ne se soigne Que par mon espritNe comprends tu donc rien ?Je me laisse mourirEn attendant de te voirEnfin
Tu ne t’es jamais Soucier de nousPourquoi cela changerait ?Il est trop tardTu as crut m’acheterTu t’es tromperOn ne m’achĂšte pasAvec des cadeaux et de l’argentMais ça tu ne le comprendraQu’à ma mort,Ou alorsJamais
Tu prĂ©fĂšres les autres Qu’a tes propres enfantsJe te haisEt tu est sensĂ© ĂȘtre mon pĂšre ?Je ne veux pas d’un pĂšreComme toiAussi vil et stupideTu ne pense qu’à ton bonheurEt celui de ta nouvelle familleJe te demande de m’oublierMais je prie pour Que la culpabilitĂ© te rongeComme ton absence m’a rongĂ©En silenceVoilĂ  ou j’en suisAujourd’huiMais ma situation ne serais durerMon Ă©tat se dĂ©gradeJ’ai cessĂ© de m’alimenterLes mĂ©decins ne cessent de t’avertirMais tu les ignoreTout comme moiPapa,Pourquoi tu me laisse ?Pourquoi je t’indiffĂšre?Mais je croisQue je devrais plutĂŽt te demanderPourquoi tu m’a crĂ©e ?Pourquoi tu m’as donnĂ© La vieLa couleur de tes cheveuxEt tes mains ?Je suffoque dans ce mondeOĂč je suis transparentA vos yeux Je suis mort un jour d’automneLe jour de ton anniversaireMais tu as prĂ©fĂ©rerTon anniversaireA mon enterrementPersonne ne pleuraitEt toi tu riaisDe ton cotĂ©A bientĂŽtToi que je n’ai plus vuDepuis des annĂ©esToi qui m’a abandonnĂ©Sans t'en soucier... James VaInvitĂ©Sujet Re dĂ©sir et soumissions, entre fiction et rĂ©alitĂ©[ receuil] Sam 1 Juil 2006 - 2002 pour ma soeur,* Les plaies insupportables*Pendant un anCela a durĂ©Et je n’ai rien faitPour t’aiderJe suis restĂ© de marbre Ă  tes appelsJe m’en veux tellementSi tu savaisQuand j’ai aperçut la premiĂšre fois Tes bras mutilĂ©sJ’ai eut froid dans le dosLes plaies n’étaient Pas totalement cicatrisĂ©Tu saignais encoreAujourd’hui je ne supportePlus ses photos de bras ensanglantĂ©sA cause de celaCar je revois toujours tes brasContinuellementDans ma tĂȘteToiMa moitiĂ©Ma chairMon sangMa sƓurTu souffraisEt je ne faisais rienMais voila ma bĂȘtiseJe n’ai rien faitJe me suis menti A moi-mĂȘmeDe faire comme siJe ne voyais rien Je ne pouvais supporterLa douleur chaque fois Que je croisais ton regardQue tes yeux se posaient sur moiEt je pouvais lire en toiLe profond dĂ©goĂ»t de la vieMais je ne faisais rienJe t’enfonçaisJe suis horrible, ignoble, infecteTu as survĂ©cueTout le mĂ©rite te revientTu ne t’es pas tuĂ©Mais parfoisTu me le redis Je voudrais mourir le plus vite possible »Je n’ai jamais su Quoi faire Ă  ta dĂ©tresseTrop grande pour tes petites Ă©paulesTrop intense pour que tu la partagesJe sais que tu souffres encore aujourd’huiEn silenceMais tu visMais tu risAlors pour toiJe ne laisse rien paraĂźtrePour te faire honneurToi, au courage immenseMarianneToi Mon double, ma soeurAvec un caractĂšre fĂ©roceTa schizophrĂ©nie passagĂšreOn a endurĂ© tellement de chose tous les deuxJe voudrais juste te direQue je regretteEt que je t’aimeDe tout mon ĂȘtreMĂȘme si je ne te le montre pas
 MarjoInvitĂ©Sujet Re dĂ©sir et soumissions, entre fiction et rĂ©alitĂ©[ receuil] Mar 18 Juil 2006 - 250 Kayawi mon petit chĂ©ri, trop de temps ont sĂ©parĂ© ma revenue,me reconnais-tu,je suis Nylie, Cathdeux personnes totalement contraire, mais qui est mit en fonction par le mĂȘme Marjo, petite filettes qui ta pris plusieurs fois sous son ailes qui aurais aimĂ© s'abreuver de tes dĂ©sespoir,pour que Ă  chaque retour chez toi je souriais de te revoirpour t'avoir donnĂ© le courage de perdurer tout se temps chez ton pĂšre et supporter toute ta famille qui voulait mainte fois l'ordi^^moi qui aimerais te prendre dans mes bras,car depuis se que je lis, je sais,qu'une partie de toi est transparente dans tout ceci...je suis moi mĂȘme Ă©crivaine, poĂȘte...je sais que quand ont Ă©crit sait qu'on le vieje te donne mon bras, mon Ă©paule, mon torse et puis tout mon ĂȘtre...je veux te voir sourir pour tout les jours Ă  venir, tout comme moi Ă  prĂ©sent....j'ai trouvĂ© cette flamme qui s'Ă©tait Ă©teint, mais qui avait les braise de ton amitiĂ© pour moi, et j'ai mit une buche Ă©ternelle, d'une amour identique, qui le ranine Ă  chaque pĂ©pin de la vie....Je t'adore, souris Ă  la vie, et si tu ne veux pas sourire Ă  la vie, souris pour moi.... James VaInvitĂ©Sujet Re dĂ©sir et soumissions, entre fiction et rĂ©alitĂ©[ receuil] Ven 11 AoĂ» 2006 - 1625 merci, merci...ça me touche, les mots ne viennent mĂȘme pas...je suis Ă©mu, encore mercimerci pour le courage que tu m'as donnĂ© et ta joie de vivreon a partagĂ© nos malheurs ensemble,alors partageons noitre bonheur si tu le veux bienmerci mon dieu d'etre en viepour tout ces petits momentsoĂč je risde vivreet que j'ai une folle enviede survivre James VaInvitĂ©Sujet Re dĂ©sir et soumissions, entre fiction et rĂ©alitĂ©[ receuil] Jeu 17 AoĂ» 2006 - 1439 ToiLa vie est cruelleL’amour n’est pas immĂ©diatEt pourtant je n’aime que toiEt pourtant on veille sur moiJ’ai encore cette Ă©trange odeurDe ton corpsA l’intĂ©rieur de mon cƓurDans cet esprit mortMon ĂȘtre se consumeQuand tu ne me regardes pas J’ai l’impression que je ne compte pasEt j’espĂšre que sur mon cheminIl n’y aura que toiTout c’est enchaĂźnĂ© Nos deux corps se sont assemblĂ©sTon souffle sur ma peauTes lĂšvres sur les miennes Tout est allĂ©Comme je le dĂ©siraiNous nous sommes liĂ©sA jamaisTa frangeTa sĂ©rĂ©nitĂ©Ton visage d’ange Fait toute ta beautĂ©L’amitiĂ© a pĂ©riL’amour est nĂ©Je n’arrive qu’à murmurer Je t’aimeA jamais Contenu sponsorisĂ©Sujet Re dĂ©sir et soumissions, entre fiction et rĂ©alitĂ©[ receuil] dĂ©sir et soumissions, entre fiction et rĂ©alitĂ©[ receuil] Page 1 sur 1 Sujets similaires» ~Amies pour la vie..~ ReceuilPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumMÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. GALERIES ET CREATIONSSauter vers
Etde ton corps sur moi. Je te hais, je te hais, je te hais. Parce que sans toi j'peux plus m'endormir. Parce que j'peux plus me passer de toi. Sans toi je suis triste à mourir. Je te hais, je te hais, je te hais. Pour tes regards jetés autre part. Pour ces fleurs qui n'étaient pas de moi.
Le temps m'a bien changé Interminable hiver Sans jamais voir l'été Loin de ton pull-over Dans tes bras, enlacé Et le temps a passé J'ai pris quelques printemps Les automnes ont duré Moins que les sentiments Quand je vis au passéJ'en ai fait des détours Pour oublier ta voix Le parfum de tes lÚvres Et de ton corps sur moiJe te hais, je te hais, je te hais Parce que sans toi j'peux plus m'endormir Parce que j'peux plus me passer de toi Sans toi je suis triste à mourir Je te hais, je te hais, je te hais Pour tes regards jetés autre part Pour ces fleurs qui n'étaient pas de moi Pour tes voyages au bout de nulle part Je te haisEt le temps a passé J'ai pris des sombres routes Des chemins égarés Pour effacer mes doutes Sur d'autres oreillers Et le temps m'a changé J'en ai froissé des draps Sur les ombres, allongéA dire des mots tout bas Sans jamais les penserJ'en ai fait des détours Pour oublier ta voix Le parfum de tes lÚvres Et de ton corps sur moiJe te hais, je te hais, je te hais Parce que sans toi j'peux plus m'endormir Parce que j'peux plus me passer de toi Sans toi je suis triste à mourir Je te hais, je te hais, je te hais Pour tes regards jetés autre part Pour ces fleurs qui n'étaient pas de moi Pour tes voyages au bout de nulle part Je te hais
Jet'aime Je t'aime pour ta voix, pour tes yeux sur la nuit Pour ces cris que tu cries du fond des oreillers Et pour ce mouvement de la mer, pour ta vie Qui ressemble Ă  la mer qui monte me noyer Je t'aime pour ton ventre oĂč je vais te chercher Quand tu cherches des yeux la nuit qui se balance À mon creux qui te creuse et d'oĂč ma vie blessĂ©e Je peux associer chaque Final Fantasy auquel j’ai jouĂ© Ă  une pĂ©riode de ma vie, dont je me rappelle absolument parfaitement. Cette rĂ©miniscence et mĂ©moire Ă©pisodique Ă  long terme tĂ©moignent de l’importance de cette saga pour moi. Du septiĂšme opus que je dĂ©couvrais hallucinĂ© du haut de mes 13 ans, aux aventures de Noctis, aussi attendues que redoutĂ©es. Ce qui est amusant, c’est que depuis l’annonce de la mue salvatrice » de Versus XIII en XV, une petite voix intĂ©rieure me disait de me mĂ©fier et prenait mĂȘme parfois la parole sur le blog ici ou là
 J’ai donc fini Final Fantasy XV. A vrai dire, je l’ai mĂȘme platinĂ©, poussĂ© par ce dĂ©sir complĂ©tiste d’aller au bout d’un jeu-paradoxe, dans lequel d’immenses qualitĂ©s se heurtent violemment aux aberrations d’une conception grotesque et bĂątarde, accouchĂ©e dans la douleur. Les premiers instants du jeu sont inĂ©dits dans un FF. Un court flash-forward apocalyptique et dramatique magnifiĂ©e par des cƓurs puissants qui rappellent Liberi Fatali. Une ouverture gĂ©niale qui introduit les personnages et fixe instantanĂ©ment la relation absolue Ă  la vie Ă  la mort des quatre hĂ©ros, confirmĂ©e quelques instants plus tard, Avant la chute » par la scĂšne d’audience avec le roi Regis, et le dĂ©part du jeune prince pour un long voyage
 En aucun cas je ne vous demande d’éduquer mon fils » dit le Monarque Ă  Gladiolus, Prompto et Ignis. C’est pourtant bien un pĂ©riple initiatique qui attend Noctis, en route pour son mariage, pour sa vie d’homme. Le passage Ă  l’age adulte, le poids des responsabilitĂ©s Ă©crasant petit Ă  petit l’insouciance, la reconquĂȘte d’un trĂŽne usurpé  Des thĂšmes porteurs d’intrigue, plutĂŽt bien amenĂ©s et bien maĂźtrisĂ©s, il faut le souligner. La Regalia tombe en panne sur une jolie reprise de Stand by Me », la camĂ©ra s’élĂšve laissant apparaĂźtre l’horizon et les possibilitĂ©s d’un jeu attendu depuis si longtemps. Les lettres Final Fantasy XV se dessinent dans le ciel
Le potentiel est Ă©norme me dis-je alors. C’est ainsi que l’exploration commence, dans le monde ouvert » je tiens Ă  mes guillemets d’Eos. Et c’est sans conteste un des plus gros points forts du jeu qui invite constamment Ă  la dĂ©couverte, trĂšs plaisante, du Royaume de Lucis. Un Royaume malheureusement constituĂ© uniquement de 2 villes et de stations services. SĂ©rieusement ? Oui, sĂ©rieusement
 Mais je ne vais pas commencer Ă  Ă©numĂ©rer les choses qui ne vont pas
 Je le ferai plus bas. L’exploration est donc prenante, et tient la route grĂące Ă  l’accomplissement de quĂȘtes secondaires souvent sans intĂ©rĂȘt, mais permettant de voyager d’un bout Ă  l’autre de la carte, en pilote automatique rapidement remplacĂ© par la tĂ©lĂ©portation, histoire d’éviter de se taper 5 minutes IRL de bagnole Ă  chaque fois. Les Gils c’est le nerf de la guerre, et notre Prince fauchĂ© va devoir bosser dur pour en gagner ! Seul moyen de s’enrichir accomplir des contrats de chasse donnĂ©s aux comptoirs des restos cheap de stations services. L’ambiance on the road » fonctionne vraiment bien, on a l’impression de tout le temps ĂȘtre Ă  l’arrache, dans la dĂ©brouille
 On progresse, lentement, on Ă©volue, on construit cette complicitĂ©, cet attachement avec nos 3 compagnons de route au fil des affrontements, des dialogues et interactions bien Ă©crits Big Up pour les doublages français au passage ! et nuits passĂ©es Ă  camper pour assimiler les points d’expĂ©rience. Un systĂšme novateur pour la sĂ©rie, qui accompagne des combats placĂ©s sous le signe du Action-RPG ! On ne contrĂŽle que Noctis, disposant de 4 armes/magies Ă  choisir parmi un arsenal consĂ©quent. La base est simple il suffit de laisser Rond » appuyer pour dĂ©clencher des enchaĂźnements d’attaques, ou CarrĂ© » pour parer et contre-attaquer. A cela s’ajoutent les compĂ©tences de nos alliĂ©s, que l’on dĂ©clenche une fois la jauge d’action remplie. C’est nerveux, efficace, mais finalement assez brouillon. On est loin de la richesse des combats de la Trilogie XIII ou de la lisibilitĂ© d’un Kingdom Hearts. MĂȘme les spheriers, clin d’Ɠil au 10e opus, s’avĂšrent frustrant, tant l’obtention des points CP permettant de les complĂ©ter est difficile. Je suis niveau 99 et trĂšs trĂšs trĂšs loin de les avoir fini
 On passe donc des heures gĂ©niales, loin de la trame principale, courant, pĂȘchant, explorant les environnements Ă  coup de quĂȘtes annexes, et de chasses au monstre. Le monde est beau, sublime. Les jeux de lumiĂšre Ă  tomber. Moi qui n’ai pas de PS4 Pro, je peux dire que Final Fantasy XV m’a laissĂ© bouche bĂ©e malgrĂ© un framerate inconstant, plus d’une fois devant un magnifique couchĂ© de soleil sur la plage de Galdina, ou devant l’incroyable architecture jeux de la grande Altissia, directement inspirĂ©e de Venise. Les dĂ©veloppeurs de Square Enix ont un talent fou, et ont fait un travail formidable, c’est peu de le dire. SE fait partie des derniers studios nippon tenant encore la route techniquement, la domination du jeu mobile au pays du soleil levant ayant créé d’immenses lacunes dans le jeu vidĂ©o japonais ces 10 derniĂšres annĂ©es. Mais c’est un autre sujet. Quand finalement, on dĂ©cide de prendre notre destin de prince hĂ©ritier en main, et d’avancer dans l’histoire, on comprend que la dĂ©ception va ĂȘtre Ă  la hauteur des promesses de cette fantaisie basĂ©e sur la rĂ©alitĂ© ». DĂ©bute alors une dĂ©gringolade narrative choquante et Ă©prouvante, dans sa forme et dans son fond, creux, vide, indigne. La vĂ©ritĂ© apparaĂźt aussi vite que les chapitre dĂ©filent il n’y a en fait pas grand chose Ă  raconter. Le massacre de Tabata Il n’y a non seulement pas grand chose Ă  raconter, mais le jeu vole d’ellipse en ellipse, de sous-entendu en sous-entendu. Pourtant, les grands moments sont bien lĂ . On ne peut pas lui enlever ça. Des passages gĂ©niaux, incroyables, titanesques, qui font frissonner. Je pense surtout aux deux derniers chapitres, que je ne spoilerai Ă©videmment pas, mais qui contiennent un des meilleurs combats que j’ai pu voir dans un Final Fantasy. CarrĂ©ment. Les bonnes idĂ©es sont lĂ©gions, comme par exemple la place et l’importance inĂ©dite des Invocations dans le jeu, mais sont gĂąchĂ©es par des problĂšmes de camĂ©ra bĂąclĂ©e, de cohĂ©rence, d’écriture, de suivi. Parfois tout en mĂȘme temps. Je ne compte plus les personnages mal amenĂ©s, qu’on ne comprend pas, qu’on ne connait pas, et dont ne saura finalement jamais rien. La palme revenant Ă  Lunafreya Nox Fleuret, hĂ©roĂŻne inexistante dont la quĂȘte, les tenants et aboutissants, les implications, sont tellement mal racontĂ©s que j’ai encore du mal Ă  saisir certains points du semblant de scĂ©nario avec lequel Hajime Tabata s’est torchĂ©. Non, on ne peut pas tout suggĂ©rer. Non, on ne peut pas justifier de telles lacunes narratives par des prĂ©tentions d’immersion ou de La vie d’un prince en fuite dans sa quĂȘte de maturitĂ©, en 15 chapitres », comme j’ai pu le lire ailleurs. Final Fantasy n’est pas une histoire qui se devine ou sur laquelle la comprĂ©hension du joueur peut-ĂȘtre sacrifiĂ©e sur l’autel du gameplay -imparfait-, de la quĂȘte annexe ou je ne sais quel autre Dieu du RPG. C’est une histoire qui se raconte, qui s’écrit au fil des heures passĂ©es. Une histoire que le joueur doit s’approprier, qu’il doit vivre non seulement Ă  travers les yeux des hĂ©ros, mais AUSSI derriĂšre son Ă©cran. Une histoire dans laquelle il doit s’impliquer tout du long, et non juste au dĂ©but et Ă  la fin, lĂ  oĂč les restes d’une ambition Shakespearienne de Nomura se font le plus sentir. Entre temps, j’ai du endurer pendant 10 chapitres cet arriĂšre gout d’Hamlet fini Ă  la pisse par Tabata, un homme qui n’a jamais jouĂ© Ă  un Final Fantasy » de son propre aveu. Comment pouvait-il comprendre ce qu’on attendait de lui ? Il a choisi de jouer Ă  l’apprenti sorcier avec un matĂ©riel mythologique Ă©norme et culte, comblant les trous bĂ©ants par du gros fan service bien gras, bien dĂ©gueulasse, fait avant tout pour draguer les adeptes. Un Final Fantasy pour les fans et les nouveaux venus » . Une Ă©numĂ©ration des codes de la sĂ©rie, maniĂ©s avec si peu de dĂ©licatesse. Je vous dis ça et pourtant je suis plus que fan de la saga. Quelques idĂ©es sympas comme l’autoradio passant les musiques des anciens Ă©pisodes, mais n’ayant finalement et objectivement rien Ă  foutre lĂ . Rien. A tel point qu’en Ă©coutant Force Your Way, J-E-N-O-V-A, ou tout autre chef d’oeuvre musical de Nobuo Uematsu, je me suis rappelĂ© Ă  quel point ces anciens Ă©pisodes Ă©taient mieux que celui auquel j’étais en train de jouer. L’effet non dĂ©sirable d’une thĂ©rapie de fanboy nostalgique ratĂ©e en quelque sorte. Quand on connait la genĂšse de ce quinziĂšme Ă©pisode que je vous invite Ă  lire ici, on comprend que RIEN n’est excusable. RIEN n’est justifiable par une quelconque lecture au 6e degrĂ© que certains pourraient trouver. Non. Final Fantasy XV est un pur produit marketing dirigĂ© sans magie, et sauvĂ© tant bien que mal par le talent des Ă©quipes de dĂ©veloppement. Un produit qui s’emmĂȘle, se perd, dans un mĂ©lange des genres que personne ne veut, de Resident Evil, Ă  Metal Gear, avec des morceaux de Monster Hunter dedans. A tel point que sous la grogne des joueurs du monde entier, le fameux chapitre 13 que paradoxalement, je n’ai pas dĂ©testĂ© va ĂȘtre entiĂšrement réécrit. Du jamais vu. On en est lĂ . On est aussi face Ă  un concept transmedia joliment foirĂ©. Si le film KingsGlaive est top, et nĂ©cessaire Ă  la comprĂ©hension du contexte politique et du lore » hahaha
 pardon, son contenu est lamentablement broyĂ©, oubliĂ© dans le jeu. Mais oĂč est la contrĂ©e de Galahd ? Les Daemons gigantesques ? Que devient Libertus ? Et histoire d’aller au bout du bullshit tabatesque, une politique de DLC gerbante mais du coup attrayante
 putain je me dĂ©goĂ»te a vu le jour. C’est simple nos 3 compagnons subissent chacun un Ă©vĂ©nement majeur dans le jeu qui n’est absolument pas racontĂ© ellipses encore, et encore et encore, mais qui seront dĂ©voilĂ©s dans 3 contenus tĂ©lĂ©chargeables et payants. Je pourrais Ă©galement vous parler d’Altissia, la sublime ville qui ne peut ĂȘtre explorĂ©e qu’à environ 10% de sa superficie supposĂ©e, ou bien du grand Royaume du Lucis, constituĂ© de deux villes, d’une ferme chocobo et de stations services. Ou encore des innombrables choix foireux d’ergonomie comme la possibilitĂ© de n’avoir qu’une seul contrat de chasse Ă  la fois, l’inutilitĂ© de la magie durant la seconde moitiĂ© de l’aventure, l’impossibilitĂ© de conduire automatiquement la nuit au dĂ©but, la voiture sur des rails etc, etc, etc
 Bref. Voila. Si vous avez lu cet Ă©norme pavĂ© dĂ©solĂ©, vous devez vous dire que j’ai finalement dĂ©testĂ© le jeu. Non. En fait j’y joue encore. C’est dingue je sais. Je l’aime, je m’y attache
 Pour ces moments de bravoure, sa rĂ©alisation sublime, sa bande son Ă©pique, pour ses 4 hĂ©ros gĂ©niaux, pour son invitation Ă  l’exploration
 Pour sa richesse
 Ses invocations
 Son propos sur la responsabilitĂ©, la maturité  Son chapitre 14

 Et puis je le hais pour ce qu’il aurait du ĂȘtre et ce qu’il est finalement devenu, pour ses erreurs narratives impardonnables, pour un Ardyn salement bĂąclĂ© et sans envergure, comme Cor, Ravus et tant d’autres. Pour ce fan service dĂ©goulinant, pour cette inconsistance scĂ©naristique, pour ces scĂšnes au potentiel gĂąchĂ©, pour sa camĂ©ra insupportable
 Sa durĂ©e de vie ridicule
 Pour Tabata qui n’a rien compris. Final Fantasy XV est unique, comme chaque Ă©pisode
 Mais d’une autre façon, fascinante car clivante, imparfaite, dĂ©testable et parfois gĂ©niale. Un phĂ©nix blessĂ©, amputĂ©, qui renaĂźt des cendres d’un projet chaotique. Versus XIII, je ne t’oublierai jamais. JeT’aime, Je Te Hais. Ajourd’hui tu as fait un effort. Il s’est passĂ© quelque chose de rare. Tu est enfin venu me voir. Tu m’a demandĂ© des nouvelles. Tu voulais voir comment j’allais. Mais il est trop tard. Il est passĂ© trop de temps. Pour que je t’aime comme avant.

Je me sens utilisĂ©e Mais tu me manques encore Et je n’arrive pas Ă  voir la fin de ça Je veux juste sentir ton baiser contre mes lĂšvres Et maintenant, tout ce temps est passĂ© Mais je n’arrive toujours pas a te dire pourquoi Ça me blesse Ă  chaque fois je te vois Je me rends compte combien je suis besoin de toi je te hais je t’aime Je hais que je t’aime Je ne veux pas, mais j’arrive pas a mettre quelqu’un d’autre au dessus de toi Je hais je t’aime Je hais que je te veux Tu la veux, t’es besoin d’elle Et je serai jamais elle Tu me manques quand je peux pas dormir Ou directement aprĂšs le cafĂ© Ou bien directement quand j’arrive pas Ă  manger Tu me manques dans mon siĂšge passager J'ai toujours du sable dans mes chandails Revenant Ă  des nuits oubliĂ©es Je te manque comme tu me manques ? BaisĂ© autour, je me suis attachĂ© Ă  toi Les amis peuvent aussi te briser le cƓur Et je suis toujours Ă©puisĂ© mais jamais de toi Si je t'ai tirĂ© sur toi, tu n'aimerais pas cette merde J'ai mis cette bobine dehors, mais tu ne mordrais pas cette merde j’écris un texte mais puis je ne fais jamais attention Ă  cette merde J’avais ses sentiments mais tu fais jamais attention Ă  cette merde Oh oh, garde le sur le bas Tu es encore amoureuse de moi mais tes amis ne le savent pas Si tu me veux tu n’as donc qu’à dire Et si j’étais toi, je ne me laisserais jamais partir Je veux aucun mal Tu m’as juste manquĂ© dans mes bras Les cloches du mariage n’étaient que des alarmes Bande de prĂ©caution autour de mon cƓur Tu ne t’es jamais demandĂ©e de ce qu’on a pu ĂȘtre ? Tu dis tu ne ferais pas mais putain tu as fait Me mens, mens avec moi, obtiens ta putain de solution Maintenant tout mes boissons et tout mes sentiments sont mixĂ©s Ă  la con Toujours Ă  manquer ceux que je ne devrais en tout cas pas manquer Des fois tu devrais bruler certains ponts pour crĂ©er un peu de distance Je sais que je contrĂŽle mes pensĂ©es, et je dois arrĂȘter d’évoquer ses souvenirs Mais j’ai appris de mon pĂšre que c’est bien d’avoir des sentiments. Lorsque l’amour et la confiance disparaissent Je suppose que cela avance chaque personnes Ă  qui je prodigue du bien me nuisent Alors chaque solitaire nuit je chante cette chanson. je te hais je t’aime Je hais que je t’aime Je ne veux pas, mais j’arrive pas a mettre quelqu’un d’autre au dessus de toi Je hais je t’aime Je hais que je te veux Tu la veux, t’es besoin d’elle Et je serai jamais elle Toute seule je te regarde entrain de la regarder Comme si c’étais la seule fille que t’as jamais vu Tu ne t’intĂ©resses pas tu ne l’as jamais fait Tu te fous de moi Ouais, Toute seule je te regarde entrain de la regarder Comme si c’étais la seule fille que t’as jamais vu Comment t’as fait pour ne jamais remarquer Que tu es entrain de me tuer lentementje te hais je t’aime Je hais que je t’aime Je ne veux pas, mais j’arrive pas a mettre quelqu’un d’autre au dessus de toi Je hais je t’aime Je hais que je te veux Tu la veux, t’es besoin d’elle Et je serai jamais elle

Le 1er site d’information sur l’actualitĂ©. Retrouvez ici une archive du 22 fĂ©vrier 1995 sur le sujet Je t'aime, je te hais
Putain, pourquoi elle rĂ©pond pas ? Ouais c’est Itlem lĂ , rappelle Tu rends ouf lĂ  rappelle Vas y j’regrette, rappelle Le printemps passe et l’amour balayĂ© plus vite que les feuilles d’automne La routine s’installe, pas de communication la vie devient monotone Une larme de sang glisse de sa joue puis tombe sur le sol Je t’aime, mais je te hais c’est l’ironie du sort J’ai beau jouer le bourreau des cƓurs Ce soir on dĂźne aux chandelles dans le plus beau dĂ©cors J’ai refusĂ© de nourrir ma vie de tes pleurs T’as le plus beau des visages et le plus beau des corps Je, je, je veux te demander ta main non je n’ai pas peur d’affronter le regard de ton pĂšre j’ai, j’ai, j’ai tout ce qu’il faut pour faire ton bonheur Et le mien s’il me valide et qu’il coopĂšre Moi, j’suis peut ĂȘtre pas le mec parfait J’place peut ĂȘtre quelques disquettes par phrases Mais je t’assure que si dans ma vie tout Ă©tait Ă  refaire Je le referai j’ai trimĂ© pour mĂ©riter ma place Moi, on m’a rien donnĂ© dans la vie, De mes mains j’ai construit le plus beau des navires Et j'Ă©chouerais seul sur une Ăźle comme Tom si celui-ci chavire Le regard vide, j'ai froid sans toi Le printemps passe et l'amour balayĂ© plus vite que les feuilles d'automne Moi qui ne connais l'effroi, seul dans mon dĂ©sarroi Une larme de sang glisse de sa joue puis tombe sur le sol Je sais qu'tu m'en veux, t'as mis le tĂ©lĂ©phone en veille C'est la faute de ma carriĂšre, je sais qu'tu regardes les messages de la veille T’as Ă©rigĂ© des barriĂšres, je sais que j’laisse, Un, un, un vide dans la piĂšce Mais je veux qu'tu soit ma hlel, ma reine, qu'on t'appelle altesse J'ai peur de m'engager donc je fuis, c'est la faute de ma carriĂšre Elles m'ont sucĂ© le sang comme un vampire, j'voulais juste une reine qui tienne mon empire T’as Ă©rigĂ© des barriĂšres c'est toi Tu fais parti d'celles qui passent au-dessus de l'oseille et des jantes en alliage C'est bien plus qu'un flirt car devenir un homme c'est faire sa demande en mariage Un nouveau chapitre nous Ă©tait destinĂ© t'as prĂ©fĂ©rĂ© tourner la page Je t'aime, mais je te hais, de l'amour Ă  la rage Je me rappelle t'avoir fait la cour, ce jour-lĂ  je savais dĂ©jĂ  ce que je ressentais Oublions nos guerres cĂ©rĂ©brales et faisons l'amour, ce soir je suis seul avec ma plume je trinque Ă  ta santĂ© Et toi, toi, toi qui m'a rendu malade Ă  vie, tout ce qu'il me reste aujourd'hui ce sont des souvenirs T'as, t'as, t'as griffĂ© mon cƓur avec ta nouvelle manucure, Ă  l'Ă©poque je n'ai rien vu venir, non Hors de question que j'reste par terre, j'espĂšre que t'arrives Ă  te regarder dans la glace J'ai l'impression de te sentir couler dans mes artĂšres Je voulais te montrer les mers et faire le tour de l'Atlas Chaque fois que j'ai dĂ» te dĂ©cevoir, ma fiertĂ© ne voulait pas que je demande pardon Et je sais que tu m'en veux de t'avoir dĂ©laissĂ© de la sorte en allant au charbon Le regard vide, j'ai froid sans toi Le printemps passe et l'amour balayĂ© plus vite que les feuilles d'automne Moi qui ne connais l'effroi, seul dans mon dĂ©sarroi Une larme de sang glisse de sa joue puis tombe sur le sol Je sais qu'tu m'en veux, t'as mis le tĂ©lĂ©phone en veille C'est la faute de ma carriĂšre, je sais que tu regardes les messages de la veille T’as Ă©rigĂ© des barriĂšres, je sais que j'laisse Un, un, un vide dans la piĂšce Mais je veux qu'tu soit ma hlel, ma reine, qu'on t'appelle altesse J'ai peur de m'engager donc je fuis, c'est la faute de ma carriĂšre Elles m'ont sucĂ© le sang comme un vampire, j'voulais juste une reine qui tienne mon empire T’as Ă©rigĂ© des barriĂšres, c'est toi Les remords, les regrets, dis-lui qu'tu l'aimes mon pote Vas la chercher sous la pluie s'il faut Parce que quand elle sera plus lĂ , tu comprendras pourquoi j'ai Ă©crit ce morceau À toutes celles qu'on mĂ©rite pas Je t'aime moi non plus Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la SociĂ©tĂ© des Editeurs et Auteurs de Musique SEAM
etje fais un topic pour ça juste pour ne pas le faire dans le topic prévu pour ça, quand à savoir pourquoi je fais ça je sais pas, d'ailleurs j'me casse direct. Lézérisson. Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer. Accueil Rechercher . S'enregistrer Connexion : Le Deal du moment : Coffret
Encore une fois j’ai dĂ» disparaitre Des fois je t’aime, des fois je te hais Pour ne pas dire que j’ai tout donnĂ© J’ai donnĂ© tout autant que toi Tes larmes coulent sur mes Ă©paules J’ai tout compris sans dire un mot Ne monte plus les gens contre moi C’est difficile de voir dans le noir Je te l’ai dit, tu as ce sourire Au coin des lĂšvres quand tu mens Tu t’imaginais pouvoir t’en sortir Encore et encore facilement Encore et encore facilement Encore et encore facilement J’essaie d’y croire J'me voile sĂ»rement la face J'me voile sĂ»rement la face Tu m'as poignardĂ© dans le noir J'ai fait confiance Aveugle Ă©tait ma confiance Et tu m'as fait du tort Parce que le cerveau suit le cƓur Parce que le cerveau suit le cƓur Parce que le cerveau suit le cƓur Vois-tu comment le monde est stupide ? Vois-tu comment le diable est habile ? La vĂ©ritĂ© te dĂ©shabille Rendez-vous dans une autre vie Te souviens-tu d’ĂȘtre entrĂ©e chez moi ? T’as pu voir le cocon familial T'avais pas le droit de m'faire tant de mal Je vais devoir Ă©teindre les flammes par les flammes Je te l’ai dit, tu as ce sourire Au coin des lĂšvres quand tu mens Tu t’imaginais pouvoir t’en sortir Encore et encore facilement Encore et encore facilement Encore et encore facilement J’essaie d’y croire J'me voile sĂ»rement la face J'me voile sĂ»rement la face Tu m'as poignardĂ© dans le noir J'ai fait confiance Aveugle Ă©tait ma confiance Et tu m'as fait du tort Parce que le cerveau suit le cƓur Parce que le cerveau suit le cƓur Parce que le cerveau suit le cƓur J’essaie d’y croire J'me voile sĂ»rement la face J'me voile sĂ»rement la face Tu m'as poignardĂ© dans le noir J'ai fait confiance Aveugle Ă©tait ma confiance Et tu m'as fait du tort Parce que le cerveau suit le cƓur Parce que le cerveau suit le cƓur Parce que le cerveau suit le cƓur J’essaie d’y croire J'me voile sĂ»rement la face J'me voile sĂ»rement la face Tu m'as poignardĂ© dans le noir J'ai fait confiance Aveugle Ă©tait ma confiance Et tu m'as fait du tort Parce que le cerveau suit le cƓur Parce que le cerveau suit le cƓur Parce que le cerveau suit le cƓur Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la SociĂ©tĂ© des Editeurs et Auteurs de Musique SEAM
ï»żParolesde chants. Blagues/Proverbes TEXTES TÉMOIGNAGES : mf | HaĂŻs de son pĂšre, mais aimĂ© d’un PĂšre : Ecouter. Commentaires. 0 Imprimer. J'aime! 0 Partager! Mis en ligne le : Paroles de la chanson Forever's Enough Traduction par BRKN LOVE Si je devais revivre ma vie Je resterais amoureux de toi comme je l’étais Rien ne peut remplacer ton amour Je ne peux pas imaginer la vie avec quelqu'un d'autre Je te promets de partager ma vie avec toi L’éternitĂ© ne suffit peut ĂȘtre pas, c'est vrai Mon coeur est rempli d'amour pour toi Aucun mot ne peut exprimer Ă  quel point je t'aime Et si l’éternitĂ© ne suffit pas pour t'aimer Je passerais une autre vie Ă  le faire, bĂ©bĂ© Si tu me le demandes Il n'y a rien que je ne ferai pas L'Ă©ternitĂ© ne suffit pas pour t'aimer Ils disent que le futur semble si loin Et maintenant on voit que tout peut changer Mon amour pour toi devient plus fort de jour en jour Je sais que cet amour rĂ©sistera Ă  l'Ă©preuve du temps Et si l’éternitĂ© ne suffit pas pour t'aimer Je passerais une autre vie Ă  le faire, bĂ©bĂ© Si tu me le demandes Il n'y a rien que je ne ferai pas L'Ă©ternitĂ© ne suffit pas pour t'aimer Pour toi, il n'y a rien que je ne ferai pas Et je ne te quitterai jamais L'Ă©ternitĂ© ne suffit pas pour t'aimer, ooh Mais si l'Ă©ternitĂ© se termine un jour Je te promets que je resterai pour te montrer Que mon amour pour toi ne finira jamais Et si l’éternitĂ© ne suffit pas pour t'aimer Je passerais une autre vie Ă  le faire, bĂ©bĂ© Si tu me le demandes Il n'y a rien que je ne ferai pas L'Ă©ternitĂ© ne suffit pas pour t'aimer Et si l’éternitĂ© ne suffit pas pour t'aimer Je passerais une autre vie Ă  le faire, bĂ©bĂ© Si tu me le demandes Il n'y a rien que je ne ferai pas L'Ă©ternitĂ© ne suffit pas pour t'aimer Dirge Chant funĂšbre. I hate myself for lovin' you and the weakness that it showed. You were just a painted face on a trip down Suicide Road. The stage was set, the lights went out all around the old hotel, I hate myself for lovin' you and I'm glad the curtain fell. Je me hais de t'avoir aimĂ© et la faiblesse ainsi dĂ©voilĂ©e. Paroles de la chanson Je Te Hais par Claude Barzotti Le temps m'a bien changĂ© Interminable hiver Sans jamais voir l'Ă©tĂ© Loin de ton pull-over Dans tes bras, enlacĂ© Et le temps a passĂ© J'ai pris quelques printemps Les automnes ont durĂ© Moins que les sentiments Quand je vis au passĂ© J'en ai fait des dĂ©tours Pour oublier ta voix Le parfum de tes lĂšvres Et de ton corps sur moi Je te hais, je te hais, je te hais Parce que sans toi j'peux plus m'endormir Parce que j'peux plus me passer de toi Sans toi je suis triste Ă  mourir Je te hais, je te hais, je te hais Pour tes regards jetĂ©s autre part Pour ces fleurs qui n'Ă©taient pas de moi Pour tes voyages au bout de nulle part Je te hais Et le temps a passĂ© J'ai pris des sombres routes Des chemins Ă©garĂ©s Pour effacer mes doutes Sur d'autres oreillers Et le temps m'a changĂ© J'en ai froissĂ© des draps Sur les ombres, allongĂ© A dire des mots tout bas Sans jamais les penser J'en ai fait des dĂ©tours Pour oublier ta voix Le parfum de tes lĂšvres Et de ton corps sur moi Je te hais, je te hais, je te hais Parce que sans toi j'peux plus m'endormir Parce que j'peux plus me passer de toi Sans toi je suis triste Ă  mourir Je te hais, je te hais, je te hais Pour tes regards jetĂ©s autre part Pour ces fleurs qui n'Ă©taient pas de moi Pour tes voyages au bout de nulle part Je te hais Et le temps m'a changĂ© Dans ces nuits infinies J'n'ai plus jamais aimĂ© Dans leurs yeux j'ai compris Que tu as toujours Ă©tĂ© La seule femme de ma vie. .