⚡ La Fortune Des Rougon Résumé Par Chapitre

DécryptezLa Fortune des Rougon d'Émile Zola avec l’analyse du Que faut-il retenir de La Fortune des Rougon, le roman qui marque les origines de la célèbre série des Rougon-Macquart ? Retrouvez tout ce que vous devez savoir sur cette œuvre dans une fiche de lecture complète et détaillée. Vous trouverez notamment dans cette fiche : • Un COMMENTAIRE 1 CH. II p 77-78 Quand le jeune homme sentit sa mère en sa possession … lui sembla cacher quelque piège » INTRODUCTION – Situation du passage C’est un extrait du chapitre 2 qui raconte l’histoire de la famille Rougon de 1768 jusqu’à 1848 depuis son origine avec Adélaïde Fouque jusqu’à l’échelle sociale des Rougon en 1848. Ce passage raconte commentPierre Rougon réussit à prendre le pouvoir dans sa famille. – Intérêt du passage A travers le récit de la prise du pouvoir familial de PR se dessine un portrait des personnages. Chacun d’entre eux est emporté par des valeurs différentes parfois opposées. Ici s’explique pour la 1er fois le titre du roman La Fortune des Rougon ». PLAN 1° PR prend le pouvoir dans lafamille 2° Chaque personnage agit en fonction d’une valeur qui lui est propre 3° Observation et analyse des personnages par un romancier naturaliste 1° A Une prise de pouvoir réfléchie Il y a tout d’abord la présence du champ lexical du pouvoir dans le &1 en sa possession 1, exploiter dans son intérêt » 2, il fut maître du logis » l5, il prit la haute directionde la maison »7 Par ailleurs, P est presque tjs le sujet des verbes, ce qui prouve qu’il agit tandis que les autres sont passifs donc COD P se débarrassa d’Ursule » P prend le pouvoir calmement, sans précipitation. Il procède méthodiquement puisque d’abord il prend sa mère en sa possession et après il commence à exploiter il prend le soin »4, ses actions se font est patient il attendit un événement »14, deux ans plus tard »17. Dans le & précédent lorsqu’il soumet A, le narrateur dit il exécuta pas à pas avec une patience tenace, un plan dont il avait longtemps mûri chaque détail ». PR commence son ascension sociale à 17 ans en 1804 et il attendit jusqu’en 1851; il met 64 ans. B P prend le pouvoir sur les personnes et les biens de safamille Le plan du texte correspond aux actions successives de PR. Le 1er & correspond à la prise en main de la fortune, 2 & P se débarrasse d’Antoine, 3 & P se débarrasse d’Ursule. Pierre procède en éliminant un à un les gens qui l’entourent et le gênent. Il se retrouve seul il congédie le maraîcher 5, il refuse de payer un homme A voulut le sauver du service »19, P sedébarrassa d’U »35, il tient éloigné A par ses regards » et la terreur folle qu’un seul de ses regards lui inspirait »4, il la regarda d’une telle façon qu’elle n’osa même pas achever »24 P considère les autres comme des créatures », des choses qu’il manipule il traite sa mère comme une esclave »2, le maraîcher est remplacé par une créature à lui »8. Il se débarrasse d’U et An comme deschoses que l’on achète, vend ou jette. C L’ origine de la fortune des R tromperie et hasard – Tromperie D’abord envers An il joua le rôle d’un homme désespéré »29, An est partit dupé »34. Il était encore en train d’essayer de donner une explication à Mouret pour ne pas donner de dot à sa sœur surpris de ce désintéressement, s’était mis à balbutier,cherchant à lui donner des explications »53. Toute la fortune de P est basée sur une énorme tromperie, celle des 50 000 francs avec sa mère. – Hasard Les circonstances le servirent régulièrement »15. An échappe à la conscription »16. 2ème hasard celui qui oblige An à partir, on utilise les termes An tomba au sort »17, sa mauvaise chance ». 3ème hasard, celui oùil se débarrasse d’U d’une façon encore plus inattendue »35 La fortune. Il faut comprendre le titre comme le destin ou le hasard des R Effectivement tout ce passage est centré sur la manière dont PR fait sa fortune. Par conséquent, le récit est très rapide et efficace car il est centré sur cette seule idée. Il n’y a pas de scène mais que des sommaires et une ellipse … Achetezet téléchargez ebook Fiche de lecture La Fortune des Rougon - Résumé détaillé et analyse littéraire de référence: Boutique Kindle - Scolaire et Parascolaire : sans accepter. Choisir vos préférences en matière de cookies. Nous utilisons des cookies et des outils similaires qui sont nécessaires pour vous permettre d'effectuer des

Les Rougon-Macquart - E-book - ePub Née en 1852 dans la misère du monde ouvrier, Anna Coupeau, dite Nana, est la fille de Gervaise Macquart et de Coupeau dont l'histoire est narrée dans... Lire la suite 2,99 € E-book - ePub Poche Nana Paru le 29/01/2019 En stock 3,90 € Nana Paru le 22/05/2002 En stock 4,00 € Nana Paru le 28/08/2013 Expédié sous 3 à 6 jours 4,00 € Expédié sous 3 à 6 jours 4,20 € Nana Paru le 04/03/1999 Actuellement indisponible 4,60 € Ebook Nana Multi-format Paru le 09/04/2012 Téléchargement immédiat 0,99 € Nana Multi-format Paru le 19/01/2013 Téléchargement immédiat 0,99 € Nana Multi-format Paru le 04/01/2014 Téléchargement immédiat 1,99 € Nana Multi-format Paru le 04/02/2015 Téléchargement immédiat 2,99 € Nana Multi-format Paru le 04/06/2018 Téléchargement immédiat 5,49 € Nana ePub Paru le 14/08/2022 Téléchargement immédiat 0,99 € Nana ePub Paru le 17/04/2015 Téléchargement immédiat 0,99 € Nana ePub Paru le 31/12/2014 Téléchargement immédiat 2,99 € Nana ePub Paru le 31/12/2011 Téléchargement immédiat 2,99 € Nana ePub Paru le 01/09/2017 Téléchargement immédiat 3,99 € Nana ePub Paru le 06/04/2012 Téléchargement immédiat 3,99 € Nana Edition en anglais ePub Paru le 06/05/2013 Téléchargement immédiat 0,75 € Nana PDF Paru le 31/12/2014 Téléchargement immédiat 2,99 € Nana PDF Paru le 01/09/2017 Téléchargement immédiat 3,99 € Nana Multi-format Paru le 09/06/2015 Téléchargement immédiat 0,00 € Grand format Nana Paru le 28/01/2014 Expédié sous 2 à 4 semaines 20,00 € Expédié sous 2 à 4 semaines 21,00 € Nana Paru le 21/11/2012 Expédié sous 2 à 4 semaines 22,90 € Nana Paru le 14/04/2021 Expédié sous 2 à 4 semaines 25,00 € Nana Paru le 29/01/2014 Expédié sous 2 à 4 semaines 26,50 € Nana Paru le 01/06/2013 Expédié sous 2 à 4 semaines 27,70 € Nana Paru le 22/11/2012 Expédié sous 2 à 4 semaines 29,90 € Nana Paru le 23/10/2018 Expédié sous 2 à 4 semaines 39,90 € Nana Paru le 23/10/2018 Expédié sous 2 à 4 semaines 59,90 € Nana Paru le 05/11/2009 Actuellement indisponible 3,00 € Nana Paru le 20/11/2001 Sous réserve de l'éditeur 8,99 € Livre audio Nana Paru le 25/08/2022 Expédié sous 3 à 6 jours 25,90 € Expédié sous 3 à 6 jours 26,50 € Vous pouvez lire cet ebook sur les supports de lecture suivants Téléchargement immédiat Dès validation de votre commande Offrir maintenant Ou planifier dans votre panier Née en 1852 dans la misère du monde ouvrier, Anna Coupeau, dite Nana, est la fille de Gervaise Macquart et de Coupeau dont l'histoire est narrée dans L'Assommoir. Le début du roman la montre dans la gêne, manquant d'argent pour élever son fils Louis qu'elle a eu à l'âge de seize ans d'un père inconnu ; elle se prostitue, faisant des passes pour arrondir ses fins de mois. Ceci ne l'empêche pas d'habiter un riche appartement où l'un de ses amants, un riche marchand de Moscou, l'a installée. Date de parution 22/08/2022 Editeur ISBN 978-2-322-44965-1 EAN 9782322449651 Format ePub Nb. de pages 324 pages Caractéristiques du format ePub Pages 324 Taille 535 Ko Protection num. Digital Watermarking Biographie d'Emile Zola Émile Zola est un écrivain et journaliste français, né le 2 avril 1840 à Paris et mort le 29 septembre 1902 dans la même ville. Considéré comme le chef de file du naturalisme, c'est l'un des romanciers français les plus populaires. "Nana" est un roman publié sous forme de feuilleton dans "Le Voltaire" du 16 octobre 1879 au 5 février 1880, puis en volume chez Georges Charpentier, le 14 février 1880.

7La Fortune des Rougon a été écrite au printemps et à l’été 1869, et publiée dans Le Siècle à partir du 28 juin 1870: c’est de cette période que la préface date la genèse du texte. Mais la diffusion du roman est dès l’origine liée à la Commune. La publication du feuilleton s’arrête le 10 août 1870. Paris est assiégé Résumé du document Dans le début de La Fortune des Rougon le premier tome de la série des Rougon-Macquart, Zola nous peint la foule révolutionnaire qui marche contre le coup d'Etat de Napoléon III qui a mis fin à la IInde République. Comment est dépeinte cette révolte? Zola montre ici une révolte républicaine. Ce n'est pas la révolte de quelques hommes isolés, mais de tout un peuple. L'accent est donc mis sur la collectivité, jamais les personnages ne sont décrits isolément, c'est le peuple qui est décrit, le peuple qui par définition est nombreux. On note ainsi ces "quelques milliers d'hommes" ligne 2, les "flots vivants", les "masses noires". Sommaire I. La révolte d'un peuple la description de la foule A. L'insistance sur le nombre B. Les métaphores de la masse C. Le symbolisme du chant II. Une description épique A. Mouvements d'agrandissement et de dramatisation B. Mouvements de personnalisations de la foule humaine à la nature III. Un avenir incertain A. Le regard admiratif du narrateur B. Les signes avant-coureurs de la défaite? Extraits [...] En réalité la campagne est sans vie et sans alliés, le paysage est dit être celui d'une "paix morte et glacée" sans doute la paix à venir, celle de la répression dans le sang par Napoléon III. Conclusion Zola nous dépeint de manière admirative cette foule révolutionnaire. On note l'entrelacement de la nature et de la foule humaine la nature devient une force révolutionnaire qui chante, les révolutionnaires eux mêmes deviennent nature chant, tempête. Ainsi, c'est le monde entier qui marche vers la révolution. La défaite n'en sera que plus absurde et plus cruelle. [...] [...] Tout devient plus grand, plus fort et plus dramatique dans ce texte. Ainsi, les révolutionnaires,d e simples hommes deviennent des "géants", leurs trompettes sont "monstrueuses". De même, il y a un effet d'amplification du chant qui va "à tous les coins de la vallée", le chant se répète "à tous les échos" effet de dramatisation du déterminant. Lorsque Zola décrit la façon dont la nature répercute le chant révolutionnaire, la phrase ce fait plus longue "Alors ce ne fut plus seulement la bande qui chanta" la série d'énumérations montre encore une fois le mouvement d'amplification. [...] [...] Cependant cette narration est le point de vue d'un personnage, Silvère, jeune et naïf. D'autres éléments peuvent contrebalancer ce point de vue. Les signes avant-coureurs de la défaite? Dès la première ligne, on peut se questionner sur l'oxymore "terriblement grandiose". Que veut dire cet adverbe "terriblement" qui semble contrebalancer la portée positive de l'adjectif "grandiose"? Peut être que cette foule grandiose va être confrontée à une issue tragique, terrible la mort. De plus, la foule a l'illusion d'être nombreuse, de part les nombreux échos. [...] [...] La fortune des Rougon, chapitre Emile Zola La révolte républicaine. Introduction Dans le début de La Fortune des Rougon le premier tome de la série des Rougon-Macquart, Zola nous peint la foule révolutionnaire qui marche contre le coup d'Etat de Napoléon III qui a mis fin à la IInde République. Comment est dépeinte cette révolte? La révolte d'un peuple la description de la foule L'insistance sur le nombre Zola montre ici une révolte républicaine. Ce n'est pas la révolte de quelques hommes isolés, mais de tout un peuple. [...] [...] On note que le chant est repris "il n'y avait pas un trou de ténèbres où des hommes cachés ne parussent reprendre chaque refrain avec une colère plus haute". La foule est toujours plus grande, le chant toujours repris, le mouvement est "irrésistible". Cette description de la masse est épique registre épique registre de bataille, de guerre. C'est un peuple révolutionnaire qui est en marche, prêt à tout emporter sur son passage. II/ Une description épique Mouvements d'agrandissement et de dramatisation Représenter un combat, une bataille, une guerre s'accompagne d'effets de dramatisation, d'agrandissement, pour donner véritablement un souffle épique à la scène. [...] Commentairede la nouvelle Chef D'oeuvre Inconnu De Balzac. Le réalisme est un courant littéraire apparu en France dans les années 1830. Les écrivains qui se disaient réalistes, avaient pour obligation d'être au plus proche de la réalité à travers leurs récits. Chaque éléments se devait d'être inspiré voir emprunté à la réalité.La description devait être
La fortune des Rougon de Zola Résumé par chapitres Chapitre 1 Histoire d’amour entre Miette et Silvère. Adieux car départ de Silvère pour l’insurrection. Miette devient la fille en rouge » Chapitre 2 Pierre Rougon veut faire fortune et se débarrasse de ses frères et sœurs. Il tente de faire fortune avec Félicité. Déception venant de leurs 3 fils. Chapitre 3 Insurrection des républicains. Le salon jaune est pour la monarchie. Rougon veut remettre de l’ordre et en garder le bénéfice. Chapitre 4 Histoire d’Antoine Macquart. Même volonté de faire fortune. Fine travaille pour lui, quand elle meurt, il accuse la monarchie et en veut au salon jaune. Il met Silvère de son côté. Chapitre 5 Bataille entre les insurgés et les bonapartistes. Rougon se cache et attend le bon moment. Miette se fait tuer. Chapitre 6 et 7 Rougon sauve Plassans avec des hauts et des bas et fait enfin fortune. Silvère est tué. Macquart est exilé. La curée de Zola Personnages principaux Maxime Saccard Laure d’Aurigny Renée Saccard – Bérard Mme de Lauwerens M Simpson Mme la marquise d’Espanet Adeline Mme Haffner Suzanne Aristide Saccard – Rougon M de Mussy M de Mareuil Louise de Mareuil Baptiste Céleste Christine Béraud Elisabeth Sidonie Rougon Eugène Rougon Mignon Charrier Le baron Gouraud M Toutin-Laroche M Hupel de la Noue M de Saffré Sylvia Angèle, première femme d’Aristide Clotilde, fille d’Aristide M Béraud du Châtel, père de Renée Larsonneau M Michelin Worms Le duc de Rozan Résumé par chapitres Chapitre 1 Présentation de Maxime et Renée. Elle s’ennuie, elle a déjà fait tout ce qui était possible. Diner lors duquel on étale la luxure des Saccard. Que comprend Renée en voyant Maxime et Louise ? Que devient M de Mussy ? Chapitre 2 Histoire d’Aristide Rougon dit Saccard. Raison et condition de son mariage avec Renée. Explication de sa fortune à venir c’est un homme intelligent et ambitieux tout comme Sidonie, sa sœur et Eugène, son frère. Chapitre 3 Maxime, Renée et Saccard font chacun leur vie de leur côté. Ils descendent de plus en plus bas dans la débauche. Renée semble souvent s’ennuyer. Maxime connaît toutes les dames même s’il est promis à Louise. Chapitre 4 Saccard a des problèmes d’argent. Sa fortune n’est qu’apparente. Sidonie tente de mettre le grappin sur Renée. Renée et Maxime ont gouté à l’inceste et y prennent gout. Ils se voient tous les soirs. Chapitre 5 Les affaires de Saccard vont de mal en pis. Maxime et Renée son toujours ensemble mais Maxime veut rompre sans succès. Sous le coup de la colère, il a dévoilé les plans de son père à Renée. Chapitre 6 Renée, lors d’un bal, comprend que Maxime va épouser Louise. Elle devient folle. Saccard les surprend mais ne dit rien. Renée est totalement perdue. Elle se sent honteuse car arrivée au plus haut point du vice avec l’inceste. Chapitre 7 Renée est encore plus perdue depuis que Céleste l’a quittée. Elle se rend compte qu’elle a vieilli et que sa vie est vide de sens. Elle meurt en laissant des dettes que son père règlera. J’accuse de Zola Résumé Zola s’adresse au président Faure sur l’affaire Dreyfus. Il détaille d’abord tous les problèmes évidents puis il montre les manigances et autres mises en œuvre pour couvrir les erreurs de l’Etat-major. Il plaint les hommes justes qui ont été punis. Pour conclure, il accuse tous les hommes qui ont trompé l’opinion et dit que sa lettre n’a pour seul intérêt que de faire sortir la vérité qui est déjà prête à exploser. Au bonheur des dames de Zola Personnages principaux Denise Baudu Pépé Baudu Jean Baudu Oncle Baudu Elisabeth Baudu Geneviève Baudu Vinçard Colomban Mme Gras, la nourrice Robineau Gaujean Bouthemont Mme Aurélie Le père Bourras Octave Mouret Mme Desforges Henriette Mme de Boves Mme Marty Mme Bourdelais Bourdoncle Albert Lhomme Joseph Liénard Mignot Hutin Favier Mlle Vadon Marguerite Mlle Prunaire Clara Mme Frédéric Henri Deloche Le baron Hartmann Mme Guibal Blanche de Boves M de Boves M de Vallagnosc Paul Mme Cabin Mme Boutarel Valentine Marty Pauline Cugnot Baugé Mme Robineau Résumé par chapitres Chapitre 1 Denise arrive à Paris avec Jean et Pépé, ils se rendent chez leur oncle Baudu. Celui-ci n’a pas de place pour elle. Il raconte l’histoire du Bonheur des Dames qui ruine le quartier. Denise en est fascinée car il est immense. Elle va aller s’y présenter pour travailler comme vendeuse malgré l’aversion de sa famille pour ce magasin. Chapitre 2 Denise se rend au Bonheur des Dames pour se présenter comme vendeuse. Sa timidité l’empêche d’entrer tout de suite. Elle rencontre Henri Deloche. Présentation de tout le magasin et de ses principaux employés. Denise se présente enfin mais elle ne sait pas encore si elle aura le poste, Mouret semble l’apprécier. Chapitre 3 Mouret se rend chez Henriette pour rencontrer le baron Hartmann avec qui il veut faire affaire. Ce dernier finit par être séduit quand il voit comment Mouret gouverne les femmes. Mouret y retrouve un ami de Plassans Paul Vallagnosc. Chapitre 4 C’est le jour du lancement d’un nouveau produit. Le matin est si calme qu’ils ont peur mais finalement l’après-midi est bondé de monde. C’est la première journée de Denise, elle ne vend rien, tout le monde se moque d’elle. Elle est épuisée et démoralisée. Chapitre 5 Denise, malgré ses difficultés, fait tout pour ne pas être renvoyé. Jean lui demande de l’argent pour des problèmes de femmes ce qui ennuie Denise. Elle est amie avec pauline qui lui conseille de prendre quelqu’un » ce qu’elle refuse. Est-elle amoureuse de Hutin ? Deloche lui fait sa déclaration lors de la journée à Joinville. Elle le repousse gentiment. Chapitre 6 Denise a beaucoup de problèmes d’argent. Robineau l’aide en lui donnant des nœuds de cravates. Ils se font licenciés tous les deux. Beaucoup d’histoires couraient sur Denise à cause de Jean qu’on prenait pour son amant. Chapitre 7 Denise vit chez Bourras qui par charité lui offre un emploi. Elle a dû reprendre Pépé avec elle. Elle va travailler dans la boutique de Robineau, même si elle est pour les grands magasins, pendant que Bourras garde Pépé. Elle rencontre Mouret qui lui fait des excuses et lui propose de revenir travailler au Bonheur des Dames ce qu’elle refuse. Baudu vient lui reparler et l’invite à manger. Chapitre 8 Denise va manger chez son oncle, elle voit que Geneviève dépérit elle sait que Colomban en aime une autre. Elle retourne au Bonheur des Dames car les Robineau ne s’en sortent pas. Les travaux d’agrandissements sont en route, nuit et jour, et avalent tout sur leur passage. Baudu vend son rêve et repousse encore le mariage de sa fille. Il n’a plus vraiment d’espoir Chapitre 9 C’est l’aventure du grand magasin pour les nouveautés d’hiver ». Le génie de Mouret est indéniable. La recette est la plus importante que le Bonheur des Dames ait jamais connu. Mme Desforges croit que Denise est la maitresse de Mouret. Celui-ci offre la place de seconde à Denise. L’aime-t’il ? Cela effraye Denise. Chapitre 10 Denise a réussi à se faire apprécier dans son rayon, seule Clara la méprise. Mouret l’invite à diner, tous savent ce que cela signifie. Elle refuse, cela étonne tout le monde, Mouret en est déstabilisé. Elle l’aime mais ne veut pas être une aventure d’un soir. Plus rien n’a d’importance pour Mouret même l’inventaire qui annonce la bonne fortune de son magasin. Chapitre 11 Henriette veut se venger et organise un piège pour Denise et Mouret. Celui-ci aime vraiment Denise et prend sa défense ce qui déprime Henriette. Elle va s’associer à Bouthemont qui veut faire concurrence au Bonheur des Dames avec l’aide du baron. Chapitre 12 Denise se refuse toujours à Mouret, il en est exécrable. Bourdoncle veut se débarrasser d’elle mais c’est sans succès. Elle prend de l’importance et améliore la vie au Bonheur des Dames. Mouret est sous sa coupe, il envisage de façon confuse le mariage. Chapitre 13 Geneviève meurt ainsi sue sa mère un peu plus tard. Robineau tente de se suicider. Bourras est à la rue. Jean va mal et Pépé est au collège. Denise souffre mais c’est parce que c’est inévitable, tous refusent son aide. Chapitre 14 Le Bonheur des Dames fait une nouvelle exposition maintenant qu’il s’étend sur tout un pavé de rue. Beaucoup de rumeurs circulent sur Denise et Mouret. Celle-ci part le lendemain, il veut l’épouser. Elle lui avoue son amour. Il la laisse partir, il viendra la chercher lui-même dans un mois. Les villes tentaculaires de Verhaeren Résumé des poèmes La Plaine Il évoque l’ancienne vie si magnifique des plaines et ce que l’homme en a fait des lieux tristes, monotones … L’âme de la ville Après la plaine, il évoque la vie de la ville qui existe depuis des siècles. Pas de structure fixe dans ce poème. Une statue Histoire d’un prêtre qui a une statue en son honneur. Les cathédrales Poème sur les cathédrales. Répétition fréquente de ô ces foules, ces foules / Et la misère et la détresse qui les foulent. » qui résume bien l’essentiel du poème. Une statue Cette fois c’est celle d’un soldat qui apparait le sabre en bel éclair dans le soleil » Le port Description d’un port ou plutôt de la mer qui se trouve là ! Même effet de répétition d’un vers Toute la mer va vers la ville » mouvement constant. Le spectacle Poème sur le spectacle et ses effets. Il se finit logiquement sur la fin du spectacle. Qui sont ces filles qui attendent ? Les promeneuses Poème sur des promeneuses silencieuses qui portent le deuil. Une statue Celle d’un bourgeois représenté de façon négative. Les usines Description de la vie dans celle-ci. Poème sombre. La Bourse Description de la Bourse et de son ambiance fiévreuse et sournoise. Le bazar Le bazar semble agréable mais la nuit Il apparait la bête et de flamme et de bruit / Qui monte épouvanter le silence stellaire » L’étal Les trois vers répétitifs C’est l’étal flasque et monstrueux, / Dressé, depuis toujours, sur les frontières/ Tributaires de la cité et de la mer » résument le poème. Rien ne lui semble réjouissant La révolte Description de la révolte qui soulève la ville. Le masque Poème sur un masque côté caché de l’homme ? Une statue Celle d’un apôtre vie et description de ce qu’il a apporté à la ville. La mort Elle est personnifiée dans ce long poème. La recherche Après s’être attaqué à tous les domaines de la ville, il s’en prend à la science, recherche de la vérité. Les idées Les vers servent de résumé au poème. Vers le futur Déprimant, même le futur ne semble pas heureux. Un homme dans un étui de Tchekhov in La peur Personnages principaux Ivan Ivanitch Bourkine Mavra Biélikov Kovalienko Barbara Résumé Ivan et Bourkine se préparent à passer la nuit. Ils discutent de Mavra, la femme du staroste. Pour Bourkine, le cas de solitude de Mavra n’est pas un cas isolé. Il raconte l’histoire d’un de ses anciens collègues qui se créait une enveloppe pour se protéger du monde qui lui faisait peur. Il protège aussi sa pensée et ce qui est interdit est ce qui est clair pour lui. Il était troublé par toutes les infractions aux règles. Malgré cela, il a un pouvoir de persuasion sur les gens. Il a du mal à parler alors il vient et reste silencieux. Tout le monde le craint, Biélikov fait peur à tout le village. Bourkine vivait en face de chez Biélikov il est ainsi aussi dans sa vie privée. Il passait de mauvaises nuits, poursuivi par la peur. Cet homme dans un étui a failli se marier avec la sœur d’un collègue. Pourquoi seulement failli ? Biélikov est allé parler à Barbara ! C’est ses collègues qui ont voulu les marier. Ils se demandent si elle accepterait. On les invite partout ensemble. Il accepte d’épouser Barbara. Il réfléchit à tout, le mariage qui est un pas sérieux lui fait peur. Il se renferme encore plus dans son étui. Le frère de Barbare n’aime pas Biélikov. Il ne se soucie pas de qui sa sœur peut épouser. Biélikov est très touché par la méchante caricature de lui. Lors d’une sortie, il voit Barbara et son frère à vélo. Il est choqué et rentre chez lui sans assister à la sortie. Il va voir le frère de Barbara pour s’excuser de la caricature. Il lui conseille de ne plus faire de bicyclette. Kovalienko s’énerve et le chasse en disant que sa vie privée ne regarde que lui. Il se fait littéralement jeté dehors. Il a honte et peur, à cause de cette mésaventure, de devoir démissionner. Biélikov ne sort plus de son lit. Il meurt, il a une expression heureuse dans le cercueil. Les gens se sentent bien de cette mort, ils sont à nouveau libres. D’après Ivan, le fait de vivre c’est être dans un étui. Ivan voudrait raconter une autre histoire car celle-ci l’a perturbée. Bourkine dort, Ivan n’y arrive pas. Le groseillier de Tchekhov in La peur Personnages principaux Ivan Ivanitch Bourkine Alekhine Pélagie Nicolas Ivanitch Résumé On retrouve Ivan et Bourkine. Ils en ont assez de marcher. Bourkine demande à Ivan de lui raconter l’autre histoire. Il va commencer à raconter son histoire mais une pluie torrentielle s’abat sur eux il leur faut un abri. Ils sont silencieux et ressentent l’inconfort de la pluie. Ils sont très bien accueillis chez Alekhine. Il est servi par Pélagie. Leur ami ne s’est pas lavé depuis longtemps. Ivan nage à l’extérieur sous la pluie. Il va enfin commencer son récit. Il a un frère. Il dit qu’ils se sentaient libres car ils vivaient à la campagne ce qu’Ivan ne comprend ni n’accepte pas. Nicolas veut un groseillier dans sa maison de campagne. Il fait de belles économies qu’il devient avare et ne mange plus à sa faim, etc… Il raconte que Nicolas s’est marié pour l’argent et que sa femme est morte à cause de son avarice. Il achète quand même une maison qui n’est pas de son gout mais tant pis. Il commande des buissons de groseillier. Ivan lui rend visite, il est méconnaissable. Retrouvailles attendrissantes et visite. Son frère a beaucoup changé, il se prend pour un grand seigneur. Ivan a vécu un changement en lui-même lors de sa visite. Nicolas mange les premières groseilles et es trouvent savoureuses ce qui n’est pas le cas d’Ivan. Réflexions sur le bonheur. On n’est heureux que parce que d’autres portent notre fardeau. Il faudrait rappeler aux heureux qu’un malheur est vite arrivé. Ivan se rebelle contre l’idée de devoir attendre pour vivre, pour être libre. Il ne supporte pas de voir une famille heureuse. Ils sont déçus de cette histoire. Alekhine est fatigué mais n’ose pas aller se coucher. Bourkine donne le signal du coucher. Le caméléon de Tchekhov in La peur Personnages principaux Le commissaire Otchoumélov Le bijoutier Khrioukine L’agent Eldyrine Résumé Tout est calme jusqu’à ce que le marchand de bois attrape un chien. Il y a un rassemblement, Otchoumélov va voir ce qui se passe. Le chien a-t’il perdu ? Le bijoutier demande une indemnité. Il veut faire tuer le chien mais il est au général… Il pense alors que le bijoutier fait du cinéma. Quelqu’un dit qu’il a cherché chicane au chien. Quand l’agent qui l’accompagne dit qu’il n’est pas du général, il veut le faire étrangler. Il y a des doutes. Ce n’est pas le chien du général mais celui de son frère donc on ne va rien lui faire. La justice est inégale. La peur de Tchekhov Personnages principaux Le géomètre Gleb Gavrilovitch Smirnov Klim Résumé Gleb Gavrilovitch Smirnov cherche un moyen de transport, il part avec un moujik. Le géomètre n’est pas à l’aise, la charrette n’est pas confortable. Il part quand il fait nuit. Le géomètre a peur d’être attaqué par le cocher, Klim, ou autres. Il ment en disant qu’il a trois révolvers. Où l’emmène Klim ? Il se vante d’être fort. Il a peur du cocher ? Ils se sont mis à galoper dans un bois. En fait, c’est le cocher qui a peur, il croit que le géomètre veut le tuer pour le dépouiller. Il appelle Klim jusqu’à ce que celui-ci apparaisse, effrayé, il lui avoue son mensonge. Le géomètre et Klim repartent. Il n’a plus peur ni de la route ni de Klim. La mort d’un fonctionnaire de Tchekhov in La peur Personnages principaux Ivan Dmitritch Tcherviakov Le général Brizjalov Résumé Tcherviakov est au théâtre, il éternue et asperge un homme devant lui. Il tente de s’excuser. Brizjalov lui dit avoir oublié mais il ne veut pas y croire et se décide à en reparler avec lui. Sa femme l’encourage à s’expliquer. Le général ne tient pas à en parler mais Tcherviakov insiste. Il finit par en avoir marre de se faire rembarré » et veut écrire une lettre. Il n’arrive pas à l’écrire et retourne chez le général qui le chasse. Il rentre chez lui et meurt.
Larédaction, claire et accessible, a été confiée à un spécialiste universitaire. Cette fiche de lecture répond à une charte qualité mise en place par une équipe d’enseignants. Ce livre contient la biographie de Émile Zola, la présentation de l'œuvre, le résumé détaillé (chapitre par chapitre), les raisons du succès, les thèmes principaux et
Nana - E-book - ePub Cet ouvrage traite du thème de la prostitution féminine à travers le parcours d'une lorette puis cocotte dont les charmes ont affolé les plus hauts... Lire la suite 0,99 € E-book - ePub Poche Nana Paru le 29/01/2019 En stock 3,90 € Nana Paru le 22/05/2002 En stock 4,00 € Nana Paru le 28/08/2013 Expédié sous 3 à 6 jours 4,00 € Expédié sous 3 à 6 jours 4,20 € Nana Paru le 04/03/1999 Actuellement indisponible 4,60 € Ebook Nana Multi-format Paru le 19/01/2013 Téléchargement immédiat 0,99 € Nana Multi-format Paru le 09/04/2012 Téléchargement immédiat 0,99 € Nana Multi-format Paru le 04/01/2014 Téléchargement immédiat 1,99 € Nana Multi-format Paru le 04/02/2015 Téléchargement immédiat 2,99 € Nana Multi-format Paru le 04/06/2018 Téléchargement immédiat 5,49 € Nana ePub Paru le 17/04/2015 Téléchargement immédiat 0,99 € Nana ePub Paru le 31/12/2014 Téléchargement immédiat 2,99 € Nana ePub Paru le 31/12/2011 Téléchargement immédiat 2,99 € Téléchargement immédiat 2,99 € Nana ePub Paru le 01/09/2017 Téléchargement immédiat 3,99 € Nana ePub Paru le 06/04/2012 Téléchargement immédiat 3,99 € Nana Edition en anglais ePub Paru le 06/05/2013 Téléchargement immédiat 0,75 € Nana PDF Paru le 31/12/2014 Téléchargement immédiat 2,99 € Nana PDF Paru le 01/09/2017 Téléchargement immédiat 3,99 € Nana Multi-format Paru le 09/06/2015 Téléchargement immédiat 0,00 € Grand format Nana Paru le 28/01/2014 Expédié sous 2 à 4 semaines 20,00 € Expédié sous 2 à 4 semaines 21,00 € Nana Paru le 21/11/2012 Expédié sous 2 à 4 semaines 22,90 € Nana Paru le 14/04/2021 Expédié sous 2 à 4 semaines 25,00 € Nana Paru le 29/01/2014 Expédié sous 2 à 4 semaines 26,50 € Nana Paru le 01/06/2013 Expédié sous 2 à 4 semaines 27,70 € Nana Paru le 22/11/2012 Expédié sous 2 à 4 semaines 29,90 € Nana Paru le 23/10/2018 Expédié sous 2 à 4 semaines 39,90 € Nana Paru le 23/10/2018 Expédié sous 2 à 4 semaines 59,90 € Nana Paru le 05/11/2009 Actuellement indisponible 3,00 € Nana Paru le 20/11/2001 Sous réserve de l'éditeur 8,99 € Livre audio Nana Paru le 25/08/2022 Expédié sous 3 à 6 jours 25,90 € Expédié sous 3 à 6 jours 26,50 € Vous pouvez lire cet ebook sur les supports de lecture suivants Téléchargement immédiat Dès validation de votre commande Offrir maintenant Ou planifier dans votre panier Cet ouvrage traite du thème de la prostitution féminine à travers le parcours d'une lorette puis cocotte dont les charmes ont affolé les plus hauts dignitaires du Second Empire. Le récit est présenté comme la suite de L'Assommoir. L'histoire commence en 1867, peu avant la deuxième exposition universelle, et dépeint deux catégories sociales symboliques, celle des courtisanes et celle des noceurs. À PROPOS DE L'AUTEURÉmile Zola est un écrivain et journaliste français, né le 2 avril 1840 à Paris et mort le 29 septembre 1902 dans la même ville. Considéré comme le chef de file du naturalisme, c'est l'un des romanciers français les plus populaires, les plus publiés, traduits et commentés dans le monde entier. Il a durablement marqué de son empreinte le monde littéraire français. Ses romans ont connu de très nombreuses adaptations au cinéma et à la télévision. Sa vie et son ouvre ont fait l'objet de nombreuses études historiques. Sur le plan littéraire, il est principalement connu pour Les Rougon-Macquart, une fresque romanesque en vingt volumes dépeignant la société française sous le Second Empire qui met en scène la trajectoire de la famille des Rougon-Macquart, à travers ses différentes générations et dont chacun des représentants, d'une époque et d'une génération particulière, fait l'objet d'un roman. Date de parution 14/08/2022 Editeur ISBN 978-2-492900-98-3 EAN 9782492900983 Format ePub Caractéristiques du format ePub Protection num. pas de protection
RésuméLa Curée Roman écrit par Émile Zola, paru en 1872, deuxième volume de la série Les Rougon-Macquart. Le personnage principal est Aristide Rougon, dit Saccard, qui va faire fortune rapidement en spéculant sur les futurs terrains à bâtir, à l'époque des grands travaux menés à Paris par le baron Haussmann. L'action se déroule à Paris.
• Thérèse Raquin 1867 Thérèse et son amant Laurent jettent à la Seine, lors d’une partie de campagne, Camille Raquin, mari de Thérèse. Mais le souvenir de Camille, matérialisé par divers signes symboliques une cicatrice, un portrait, le chat noir, s’interpose entre les deux amants et les rend impuissants à continuer leur union charnelle c’est la forme naturaliste » du remords. Dans une crise de haine mutuelle, ils révèlent leur crime à la mère de Camille, devenue paralytique et muette. Et ils finissent par se suicider ensemble sous ses yeux. • La Fortune des Rougon 1871 Pierre et Félicité Rougon sont des commerçants de Plassans, en Provence ville imaginée sur le modèle d’Aix-en-Provence. A la faveur du coup d’Etat de Louis Napoléon Bonaparte 2 décembre 1851, ils conquièrent le pouvoir politique dans la ville, et la fortune. Les paysans et les bûcherons républicains des environs ont tenté de résister par les armes au coup d’Etat, mais ils sont durement réprimés après une bataille perdue contre l’armée. Silvère Mouret, jeune parent des Rougon, meurt, avec la jeune fille qu’il aime, Miette, pour la défense de la République, laissant place nette aux appétits et aux ambitions du clan Rougon. Antoine Macquart, demi-frère de Pierre Rougon, dupé par celui-ci, trahit les républicains. Le roman s’achève sur la victoire politique et sociale des bonapartistes de Plassans, qui annonce les succès futurs de la descendance Rougon dans la société impériale. C’est le début de l’ Histoire naturelle et sociale d’une famille sous le Second Empire.» • La curée 1872 Aristide Rougon, fils de Pierre voir La Fortune des Rougon, vient de Plassans à Paris, au début du Second Empire. Employé à l’Hôtel de Ville, il s’informe frauduleusement des projets de grands travaux du préfet Haussmann et se lance dans la spéculation immobilière, truquant les dossiers et achetant les consciences. Enrichi, usant du pseudonyme d’Aristide Saccard, il habite avec sa seconde femme, Renée, un somptueux hôtel particulier près du parc Monceau. Renée Saccard et Maxime, son beau-fils, né du premier mariage d’Aristide, deviennent amants. C’est la double quête de l’or et du plaisir, dans la société corrompue du Second Empire. Aristide dépouille sa femme pour renflouer ses affaires momentanément en péril, et Maxime abandonne Renée pour épouser une héritière aristocrate, Louise de Mareuil, Renée meurt ruinée et bafouée par les deux hommes. • Le ventre de Paris 1873 Le roman se passe au coeur de Paris, dans le monde gras et coloré des Halles. Florent, déporté en Guyane après le coup d’Etat de décembre 1851, s’est évadé de Cayenne, et revient à Paris. Il y est recueilli par son parent, le charcutier Quenu, et la femme de ce dernier, Lisa, fille d’Antoine Macquart voir La Fortune des Rougon. Ceux-ci lui trouvent une place d’inspecteur de la marée, sur le carreau des Halles. Mais ce républicain maigre est mal à l’aise dans ce monde de la nourriture grasse, et des commerçants gras, conservateurs, attachés, comme Lisa la charcutière, au profit quotidien que leur assure l’Empire. Compromis dans un complot contre le régime impérial préparé par des illuminés et des provocateurs à la solde de la police, il est dénoncé par Lisa et réexpédié en prison. Le ventre de Paris l’a expulsé comme un déchet. Le jeune peintre Claude Lantier tire la morale de l’histoire Quels gredins que les honnêtes gens! » • La Conquête de Plassans 1874 L’action se transporte de nouveau à Plassans. Les conservateurs s’y partagent entre bonapartistes menés par Félicité et Pierre Rougon, les légitimistes et les orléanistes. En face d’eux, les républicains parmi lesquels François Mouret, dont l’épouse, Marthe, est la fille des Rougon. L’abbé Faujas, agent occulte du régime impérial, a pour mission d’amener les monarchistes légitimistes et orléanistes à soutenir le régime de Napoléon III. 11 se servira pour cela de son autorité ecclésiastique, et du pouvoir spirituel qu’il s’assure sur les femmes, notamment sur Marthe Mouret. Il a pris location chez les Mouret, d’où il veille à réunir ensemble les trois clans conservateurs, et à écarter le républicain Mouret. Il finira par faire passer celui-ci pour fou et à le faire interner, pour avoir le champ totalement libre. Mais Mouret s’évade. Devenu réellement fou, il met le feu à sa demeure, et Faujas périt dans l’incendie. • La Faute de l’abbé Mouret 1875 L’abbé Serge Mouret, un des deux fils de Marthe Rougon et François Mouret, curé d’un village de Provence, les Artauds, perd la mémoire à la suite d’une grave maladie, qui l’a laissé épuisé. Son oncle, le docteur Pascal Rougon fils de Pierre Rougon et frère d’Aristide et de Marthe Rougon le fait transporter dans une demeure isolée au milieu d’un grand parc, le Paradou. Là, il est soigné par une jeune fille, Albine. Il reprend vie, tout en demeurant amnésique. Au terme d’une série de promenades et d’explorations à travers la végétation luxuriante du parc, les deux jeunes gens deviennent amants. Mais l’église, par l’intermédiaire du terrible frère Archangias, reprend son serviteur. Serge Mouret revient à la mémoire et à son sacerdoce, et abandonne Albine, qui se laisse mourir, au milieu des roses. • Son Excellence Eugène Rougon 1876 Eugène Rougon est un des trois fils de Pierre Rougon et Félicité Puech, avec Aristide et Pascal. Installé à Paris dès avant le coup d’Etat et la conquête de Plassans » par les bonapartistes, il fait une carrière politique. Il est devenu président du Conseil d’Etat, et principal exécutant de la politique impériale. Les intrigues d’une femme, Clorinde Balbi, séductrice et aventurière, liée à un rival d’Eugène, éloignent momentanément celui-ci du pouvoir. Mais au lendemain de l’attentat d’Orsini en 1858, Eugène Rougon est rappelé au gouvernement, pour dirier une répression brutale et massive, aidé d’une bande de séïdes et d’obligés. A la fin du roman, il n’en prendra pas moins le virage de l’empire libéral, fondant son triomphe sur l’opportunisme. • L’Assommoir 1877 Zola revient à la seconde branche de la famille des Rougon-Macquart. Gervaise Macquart, fille d’Antoine Macquart voir La Fortune des Rougon, blanchisseuse, est abandonnée, dans un hôtel du quartier populaire de la Chapelle, par son amant Lantier. Elle reste seule avec ses deux petits garçons, Etienne et Claude le futur peintre, que le lecteur a déjà rencontré dans Le Ventre de Paris. Un ouvrier zingueur, Coupeau, devient amoureux d’elle et l’épouse. Ils ont une fille, Anna, dite Nana. Gervaise ouvre une boutique de blanchisserie, rue de la Goutte-d’or, et conquiert, à force de travail, un peu d’aisance. Mais Coupeau tombe d’un toit et se met à boire, au cabaret de l’Assommoir. Le couple, après une dernière fête partagée avec les proches voisins pour l’anniversaire de Gervaise, retourne à la misère. Lantier a réapparu et a fait de nouveau de Gervaise sa maîtresse, avant de la réduire à l’état de domestique misérable et humiliée. Nana se débauche. Coupeau, emporté par l’alcoolisme, meurt à l’hôpital. Gervaise, épuisée, affamée, le suivra de peu dans la mort. Une page d’amour 1878 Hélène Mouret, fille d’Ursule Macquart soeur d’Antoine et du chapelier Mouret, est la soeur de François Mouret La Conquête de Plassans et de Silvère Mouret La Fortune des Rougon. Veuve de Grandjean, elle demeure à Passy, avec sa fille Jeanne, de santé très fragile. Un vieil ami de famille et son frère, un prêtre, lui rendent régulièrement visite. Un médecin du quartier, le docteur Deberle, soigne Jeanne, qu’il a sauvée d’une crise très grave. Séduisant et séducteur, il s’éprend d’Hélène, que par ailleurs son épouse reçoit. Il n’a de cesse d’obtenir un rendez- vous de la jeune femme. Mais tandis qu’elle devient la maîtresse de Deberle, pour une unique rencontre, Jeanne, restée seule, en proie à la jalousie, se laisse tremper par un orage. Elle en mourra, déchirant la page d’amour» de sa mère qui, désemparée et désespérée, se laissera convaincre par le prêtre d’épouser le vieil ami de la famille, et partira avec ce dernier pour Marseille. •Nana 1880 Nana est la fille de Gervaise Macquart et de Coupeau L’Assommoir. Initiée très tôt à la débauche, elle suscite le désir des hommes par sa beauté plantureuse et facile. Elle s’exhibe sur les scènes d’opérettes bouffonnes et mène parallèlement une carrière de cocotte ». Entretenue par le comte Muffat, elle le trompe avec des camarades de coulisses. Elle conduit au désespoir et à la déchéance tous les hommes qui la désirent, et qu’elle bafoue les uns après les autres l’un tente de se tuer dans l’appartement où elle le reçoit, l’autre disparaît dans l’incendie volontaire de son écurie de courses. Le comte Muffat accepte pour elle toutes les humiliations. Mais elle a trop préjugé de son attrait. Son étoile scénique et amoureuse pâlit. Elle finira misérablement, mourant de la petite vérole le jour de la déclaration de guerre à la Prusse. • Pot-Bouille 1882 Octave Mouret, fils aîné de François et Marthe Mouret La Conquête de Plassans est venu faire fortune à Paris. Il s’est logé dans un immeuble de la rue de Choiseul, au cœur du Paris commerçant. Il fait connaissance avec les familles qui habitent les différents étages de l’immeuble, en bourgeois cossus ou appauvris. Il surprend les secrets de leurs affaires et de leur intimité, et il séduit les femmes et les filles. C’est la marmite — la pot-bouille », selon un terme populaire d’époque — des mariages arrangés, des captations d’héritage, des adultères et des amours ancillaires. Du haut en bas de l’immeuble, les bonnes commentent l’envers de la respectabilité de leurs maîtres. Octave Mouret épouse Mme Hédouin, une veuve propriétaire d’un magasin de nouveautés. C’est le début de son ascension vers le succès et la richesse. •Au bonheur des dames1883 Octave Mouret Pot-Bouille est devenu veuf de Caroline Hédouin. Le voilà à la tête du magasin de nouveautés dont elle était propriétaire, Au Bonheur des Dames ». Une jeune fille arrivée de province, Denise Baudu, y est engagée comme vendeuse, et connaît la dure condition du calicot », au bas de la hiérarchie du magasin, tandis que Octave Mouret transforme celui-ci en temple moderne et colossal du grand commerce, en spéculant sur la passion des femmes pour les étoffes et les modes. Or, il remarque Denise et s’éprend d’elle. Mais celle-ci, à la différence des autres femmes, lui résiste. Toute sa fortune ne peut rien contre la vertu de la jeune fille, qui se fait aimer de lui sans lui céder. Elle obtient de lui qu’il améliore les conditions de travail de son personnel et finalement accepte de l’épouser, comme dans les contes anciens les bergères épousaient les fils des rois. •La Joie de vivre 1884 Pauline Quenu, fille de Lisa Macquart, la charcutière du Ventre de Paris, est devenue orpheline à dix ans. Elle est recueillie par les Chanteau, qui sont retirés dans un petit village de pêcheurs de Normandie, au bord de la mer. Charitable pour tous, elle secourt toutes les misères et les douleurs des pauvres gens qui l’entourent. Le fils Chanteau, Lazare, est un garçon de faible caractère, qui fait se succéder les projets inaboutis. Pauline, qui l’aime, alors que lui ne la considère que comme une jeune et bonne camarade, et va en épouser une autre, sacrifie la fortune dont elle est héritière pour l’aider dans ses entreprises illusoires. Mme Chanteau meurt d’une maladie de cœur tandis que son mari souffre atrocement de la goutte. La femme de Lazare meurt en couches. La servante se pend... A toutes ces misères et ces absurdités de l’existence, Pauline, bonne et sereine, oppose, en dépit de tout, sa confiance dans la vie. • Germinal1885 Étienne Lantier, fils de Gervaise Macquart et de son amant Lantier L Assommoir, quitte un atelier des chemins de fer, à Lille, et devient ouvrier mineur aux mines de Montsou, un site imaginaire du nord de la France. Sous la conduite du chef d’équipe, Maheu, il apprend son nouveau métier. Avec les Maheu, il connaît la misère et la révolte. Mais il s’initie à la lutte sociale et politique. Il aime Catherine, la fille de Maheu et de la Maheude, mais Catherine appartient à Chaval. Lantier devient le leader d’une grève qui, sous l’effet dc l’exaspération, dégénère en manifestations violentes et que l’armée réprime dans le sang. Chaval a trahi ses compagnons. Maheu meurt sous les balles. Le nihiliste Souvarine sabote le puits de mine. Etienne Lantier, isolé au fond, avec Chaval et Catherine, tue Chaval. Catherine meurt d’épuisement après s’être donnée à lui. Etienne, seul survivant de la catastrophe, quitte l’univers de la mine pour Paris. •L’Œuvre 1886 Claude Lantier, fils de Gervaise Macquait et d’Auguste Lantier L’Assommoir, est un peintre exigeant, jamais satisfait de son art. Il appartient à une génération de jeunes peintres qui veulent ouvrir leurs toiles à la nature et aux sujets modernes et les baigner de lumière et de couleurs. Il recueille une jeune fille, Christine, qui devient son modèle et sa maîtresse. De son tableau intitulé Plein air, qui fait scandale au Salon, va naître une nouvelle école. Mais, malgré l’amour de Christine, la complicité de ses camarades — parmi lesquels l’écrivain Sandoz —, les villégiatures à Bennecourt sur les bords de la Seine, les stations sur les ponts devant le paysage parisien, il se laisse pénétrer par le doute. Le portrait de son enfant mort suscite l’indifférence. Il se pend devant le tableau visionnaire d’une femme nue, qu’ il n’a pas réussi à porter au point de perfection dont il rêvait. •La Terre 1887 Jean Macquart, fils d’Antoine Macquart La Fortune des Rougon et frère de Gervaise L’Assommoir, est valet de ferme en Beauce. Il épouse Françoise Mouche, dont la sœur Lise est la femme de Butcau. Le père de celui-ci, le vieux Fouan, a donné ses terres à ses enfants, en échange d’une pension. Mais sous prétexte que l’autre fils du vieux paysan, surnommé Jésus-Christ, boit sa part d’héritage, Buteau ne veut rien verser à son père. Il lorgne d’autre part l’héritage de sa femme Lise et de sa belle-sœur Françoise. La grossesse de celle-ci, qui lui ferait perdre une part dés biens des deux sœurs, l’enrage. Il viole et blesse mortellement Françoise, avec la complicité dc Lise, et accapare aussi le bien de Mouche. Fouan, dépouillé par ses fils, a été le témoin du meurtre il est assassiné à son tour par les Buteau. * Le Rêve 1888 Angélique, fille non reconnue de Sidonie Rougon la soeur d’Eugène et d’Aristide Rougon, voir La Fortune des Rougon, La Curée, a été recueillie par les Hobert, un couple de brodeurs qui vit à l’ombre de la cathédrale de Beaumont, une ville imaginaire au nord de Paris. Elle grandit là, passionnée par La Légende dorée, qui raconte le martyre et l’élévation des saints et des saintes. L’archevêque, Mgr de Hautecoeur, a eu autrefois un fils, Félicien, avant d’entrer dans les ordres à la suite de son veuvage. Le jeune homme restaure un vitrail représentant saint Georges, sous les yeux émerveillés d’Angélique, qui confond la légende et la vie, le rêve» et le réel. Les deux jeunes gens s’aiment. Après une maladie qui a failli emporter Angélique, Mgr de Hautecoeur consent à l’union de Félicien et de la jeune fille. Mais Angélique meurt au moment même dc ses noces, sur le seuil dc l’église. La Bête humaine 1890 Jacques Lantier, fils de Gervaise Macquart, frère d’Etienne et de Claude, et demi-frère de Nana, est mécanicien de chemin dc fer sur la ligne Paris-Le Havre. Un jour de repos, sur le bord de la voie, il est témoin de l’assassinat du président Grandmorin dans un wagon, tué par le sous-chef de la gare du Havre, Roubaud, dont la femme Séverine a été séduite très jeune par Grandmorin. Jacques devient l’amant de Séverine. Mais il porte en lui, par une hérédité mauvaise, l’instinct de meurtre, Il tue Séverine dans un moment de folie. L’enquête erronée du juge Denizet conclut pour les deux meurtres à la culpabilité d’un pauvre diable, Cabuche, innocent qui paie pour les coupables. Cependant, Jacques, qui a noué une liaison avec la maîtresse de son chauffeur, Pecqueux, est pris à partie par celui-ci sur la machine la Lison en pleine vitesse. Les deux hommes roulent sous les roues, tandis que le train fou emporte une cargaison de soldats vers la guerre. L’Argent 1891 Aristide Saccard La Curée réapparaît ici. Après avoir vendu son hôtel particulier du parc Monceau, il s’est tourné vers la spéculation boursière. Il crée la Banque Universelle, qui draine les fonds des petits bourgeois catholiques et colonialistes rêvant de rechristianiser le Proche-Orient. Les cours s’envolent. Mais le succès de Saccard irrite son rival, le banquier Gundermann, Après une période d’expansion et de prospérité artificielles, entretenue par le génie spéculatif et publicitaire de Saccard, le cours des titres, qui a subi une hausse factice, s’effondre, dans une débâcle amplifiée par les manœuvres financières de Gundermann. Aristide Saccard, qui a ruiné ses actionnaires et ses propres espoirs de fortune, s’exile. •La Débâcle 1892 C’est le roman de la guerre de 1870 contre la Prusse, de la défaite de Sedan et de la Commune mars-mai 1871. Le roman se compose de trois parties qui racontent successivement la marche épuisante de l’armée conduite par le maréchal de Mac-Mahon, de Reims à Sedan, en août 1870, la bataille désastreuse de Sedan 2 septembre 1870, et les semaines du siège de Paris et de la Commune, s’achevant sur la reprise de Paris par l’armée de Versailles, dans une guerre civile atroce. Jean Macquart La Terre et Maurice Levasseur sont les deux principaux personnages. Maurice sauve la vie de Jean sur le champ de bataille de Sedan, puis la défaite les sépare. Tandis que Maurice s’engage dans les rangs des communards, Jean reste parmi les Versaillais. Pendant la Semaine sanglante », Maurice meurt sur les barricades, tué par un adversaire qui ne l’a pas reconnu, Jean. Le Docteur Pascal 1893 Pascal Rougon, médecin frère d’Eugène et d’Aristide La Curée, Son Excellence Eugène Rougon, L’Argent, qui a soigné son neveu Serge Mouret La Faute de l’abbé Mouret, vit dans la propriété de la Souleiade, à Plassans, entre sa nièce Clotilde fille d’Aristide Rougon et sa servante Martine. Il étudie l’hérédité, en prenant pour champ d’analyse sa propre famille il a consacré un dossier à chacun de ses membres, suscitant ainsi l’irritation et l’inquiétude de sa mère, Félicité Rougon, qui réussit à brûler tous ces papiers. Clotilde voue à son oncle Pascal une admiration et une affection sans limites, tout en discutant ses positions agnostiques. Pascal se laisse gagner par un amour où les sens trouvent leurs droits. Mais il meurt le jour même où Clotilde lui annonce la naissance prochaine de leur enfant celui- ci, peut-être, régénérera la famille des Rougon-Macquart.
3 Historique de la pièce page 24 - 4) Étude psychologique des personnages page 25 - 5) Choix d’un thème développé page 28 - 6) Choix d’un passage page 29 - 7) Opinion personnelle page 29 1) Présentation de l’auteur : Zola Émile (1840-1902) Biographie : 1795 7 août: naissance, à Venise, de François Zola. 1819 6 févr.: naissance d’Émilie Aubert, fille
La fortune des Rougon de Zola Résumé par chapitres Chapitre 1 Histoire d’amour entre Miette et Silvère. Adieux car départ de Silvère pour l’insurrection. Miette devient la fille en rouge » Chapitre 2 Pierre Rougon veut faire fortune et se débarrasse de ses frères et sœurs. Il tente de faire fortune avec Félicité. Déception venant de leurs 3 fils. Chapitre 3 Insurrection des républicains. Le salon jaune est pour la monarchie. Rougon veut remettre de l’ordre et en garder le bénéfice. Chapitre 4 Histoire d’Antoine Macquart. Même volonté de faire fortune. Fine travaille pour lui, quand elle meurt, il accuse la monarchie et en veut au salon jaune. Il met Silvère de son côté. Chapitre 5 Bataille entre les insurgés et les bonapartistes. Rougon se cache et attend le bon moment. Miette se fait tuer. Chapitre 6 et 7 Rougon sauve Plassans avec des hauts et des bas et fait enfin fortune. Silvère est tué. Macquart est exilé.
Lacorpulentune des Rougon de Zola , Résumé par chapitres, Chapitre 1 : Histoire d’adoration entre Guère et Silvère, Adieux car départ de Silvère dans l’insurrection, À Peine devient « la fille en rouge » Chapitre 2 : Pierre Rougon veut faire bouffiune et se débarrasse de ses frères et sœurs, Il tente de faire obèseune avec Félicité, Déception venant de à 403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID wvUhx2VarWZ_9dYKjs5D4_ot8-eJSrSLHQznHvOT3X32tLkHQs5Nqg==

LaFortune des Rougon est précédée d'une préface de Zola dans laquelle il expose les grandes lignes de son projet, cette Histoire naturelle et sociale d'une famille sous le Second Empire. Ce roman est en effet le premier du cycle des Rougon-Macquart, qui devait en comprendre une dizaine et qui, comme on le sait, en compte vingt. Zola vivait alors

Uploaded byMarion 0% found this document useful 0 votes84 views1 pageDescriptionRésumé général de La Fortune des RougonsOriginal TitleRésumé La Fortune Des Rougon, ZolaCopyright© © All Rights ReservedAvailable FormatsDOCX, PDF, TXT or read online from ScribdShare this documentDid you find this document useful?Is this content inappropriate?Report this Document0% found this document useful 0 votes84 views1 pageRésumé la Fortune Des Rougon, ZolaOriginal TitleRésumé La Fortune Des Rougon, ZolaUploaded byMarion DescriptionRésumé général de La Fortune des RougonsFull description
Évaluation La Fortune des Rougon est le premier volume de la série Les Rougon-Macquart. Le cadre est une petite ville appelée Plassans, qui correspond à
RÉSUMÉ PAR ZOLA Ce roman sert d’introduction à toute l’œuvre. Il montre certains membres de la famille dont je veux écrire l’histoire, au début de leur carrière, fondant leur fortune sur le coup d’État, comptant sur l’Empire qu’ils prévoient pour contenter leurs épisode a surtout quatre grandes figures qui ne reparaîtront plus dans les autres récits l’aïeule, Tante Dide, la souche dont sont issus les principaux personnages de la série ; ses deux fils, l’un légitime, Pierre Rougon, l’autre illégitime, Antoine Machard, et l’un de ses petits fils, est la haute personnification d’un tempérament, d’un état physiologique particulier se propageant et se distribuant dans toute une famille. Les trois autres héros, outre leurs caractères héréditaires, offrent trois états de l’idée politique Pierre Rougon est le conservateur qui cherche surtout à tirer des événements un profit personnel et qui ne recule devant aucun moyen pour fonder sa fortune et celle de ses enfants sur le nouvel Empire. Antoine Machard est le fainéant, l’envieux que sa paresse jalouse et impuissante a jeté dans une fausse et honteuse démocratie. Silvère, au contraire, l’énergique enfant de dix-sept ans, la belle et ardente figure de tous les enthousiasmes de la jeunesse, est l’âme même de la jeune République, l’âme de l’amour et de la plierai le cadre historique à ma fantaisie, mais tous les faits que je grouperai seront pris dans l’histoire livres de Ténot et de Maquant, journaux de l’époque, etc.Je prendrai à la très curieuse insurrection du Var ses détails les plus caractéristiques, et je m’en servirai selon les besoins de mon récit. »Projet transmis par Zola à l’éditeur Lacroix fin 1868 ou début 1869. NAF 10303, f° 37-38. RÉSUMÉ DANS LA CONQUÊTE DE PLASSANS Oh ! je les connais sur le bout du doigt, les Rougon ; je les ai suivis. Ce sont des gens très forts. Ils avaient une rage d’appétits à jouer du couteau au coin d’un bois. Le coup d’État les a aidés à satisfaire un rêve de jouissances qui les torturait depuis quarante ans. Aussi quelle gloutonnerie, quelle indigestion de bonnes choses !… Tenez, cette maison qu’ils habitent aujourd’hui appartenait alors à un M. Peirotte, receveur particulier, qui fut tué à l’affaire de Sainte-Roure, lors de l’insurrection de 51. Oui, ma foi ! ils ont eu toutes les chances une balle égarée les a débarrassés de cet homme gênant, dont ils ont hérité… Eh bien ! entre la maison et la charge du receveur, Félicité aurait certainement choisi la maison. Elle la couvait des yeux depuis près de dix ans, prise d’une envie furieuse de femme grosse, se rendant malade à regarder les rideaux riches qui pendaient derrière les glaces des fenêtres. C’étaient ses Tuileries, à elle, selon le mot qui courut à Plassans, après le 2 Décembre.– Mais où ont-ils pris l’argent pour acheter la maison ?– Ah ! ceci, mon brave, c’est la bouteille à l’encre… Leur fils Eugène, celui qui a fait à Paris une fortune politique si étonnante, député, ministre, conseiller familier des Tuileries, obtint facilement une recette particulière et la croix pour son père, qui avait joué ici une bien jolie farce. Quant à la maison, elle aura été payée à l’aide d’arrangements. Ils auront emprunté à quelque banquier… En tout cas, aujourd’hui, ils sont riches, ils tripotent, ils rattrapent le temps perdu. J’imagine que leur fils est resté en correspondance avec eux, car ils n’ont pas encore coMmis une seule bêtise. »La Conquête de Plassans, chapitre VI. RÉSUMÉ Chapitre I. Deux enfants amoureux sortent un soir, vers neuf heures, de la petite ville de Rolleboise. La soirée de décembre est froide, mais le temps est sec, et la lune luit largement. Silvère a dix-sept ans, Miette vont souvent promener ainsi sur la grande route leurs amours naissantes, s’encapuchonnent, se cachant dans l’ombre des murailles pour éviter les yeux jaloux de la soir-là, ils s’avancent au loin dans la campagne, s’oubliant aux bras l’un de l’autre. Conversation, sensations des deux enfants amoureux, seuls dans la grande paix du voilà que, tout à coup, ils entendent devant eux un bruit de chants qui s’approche formidable, un roulement pressé de pas qui semble annoncer tout un peuple en marche. Bientôt ils aperçoivent, venant à eux, une bande d’hommes armés de fusils, de faux, de bâtons. C’est un corps d’insurgés qui marche sur Rolleboise. Pendant la journée la nouvelle du coup d’État est arrivée et les campagnes viennent de se soulever. Silvère, qui est depuis quelques mois de la société secrète des Montagnards, se joint à la bande et Miette elle-même, fille d’un condamné politique contumace, prend le drapeau et marche au milieu des II. Rolleboise. Situation des esprits, tableau d’une petite ville de province au moment du coup d’ maire, le juge de paix, le receveur des contributions, gens faibles et tremblants, penchent pourtant un peu vers l’idée face d’eux s’est formé un groupe compact de légitimistes, d’orléanistes et de bonapartistes, qui travaillent à la réaction. À la tête de ce groupe se trouve Pierre Rougon, ancien négociant qui n’a jamais fait de brillantes affaires et qui vit assez femme, dévorée d’ambition, exaspérée de ne pouvoir contenter ses vanités bourgeoises, est le ressort secret qui le pousse et le ont eu cinq enfants, trois fils et deux filles, pour l’éducation desquels ils se sont à peu près ruinés, par orgueil d’abord, puis avec l’espérance que les succès de ces enfants aideraient plus tard à leur propre fortune. Mais cette espérance ne s’est pas réalisée. Toute la famille végétait lors de la révolution de n’aurai pas à parler des filles qui se sont mariées au-dehors. Sur les trois garçons, deux sont restés à Rolleboise, Pascal, qui est médecin, et Aristide, véritable chevalier d’industrie, le nez au vent, flairant l’occasion de faire une fortune rapide ; ces deux personnages se mêlent comme comparses à l’action du roman. Quant au troisième fils, Eugène, il a couru à Paris, dès la présidence du prince Louis-Bonaparte, sentant que le moment était bon pour les hommes actifs et peu scrupuleux ; c’est un garçon de talent que la province a étouffé jusque-là et qui devine que son heure est Pierre Rougon se trouve à la tête du groupe de réactionnaires de Rolleboise, il le doit à son fils Eugène, qui rend à Paris des services au prince-président et qui dirige de loin la conduite de son père. C’est ainsi qu’il peut l’avertir quelques jours avant le coup d’État auquel il travaille lui-même. Pierre Rougon veut se rendre utile autant que possible au prochain Empire, sachant qu’il sera récompensé. Il se contente de convoiter pour le moment la place de receveur des et ses amis cherchent donc à organiser la défense en vue des troubles que pourrait soulever à Rolleboise le coup d’État. Ils doutent des autorités. Malheureusement, le coup d’État a lieu trop tôt. Surpris par la nouvelle des événements de Paris, Pierre Rougon n’a que le temps de décider avec ses amis qu’il leur faut avant tout se cacher, s’ils veulent profiter plus tard des faits ; ils craignent d’être arrêtés dès le début de l’insurrection qu’ils savent imminente. Pierre Rougon se réfugie en hâte chez sa mère, tante Dide, comme on la nomme dans le III. Tante Dide est une ancienne paysanne qui a eu Pierre Rougon d’un mari mort deux ans après la naissance de cet elle a pris un amant, qui l’a rendue mère de deux autres enfants, un fils et une fille ; la fille est morte en laissant deux garçons, Silvère et un autre enfant qui ne paraît pas dans le roman ; le fils Antoine Machard a fort mal tourné. Paresseux, ivrogne, Antoine s’est marié, comptant se faire nourrir par sa femme et ses enfants ; les enfants qu’il a eus se sont sauvés ; sa femme seule est restée, lui servant de gagne-pain et de souffre-douleur. Il habite un faubourg de Rolleboise, irrité de sa misère volontaire et méritée, se jetant dans le communisme le plus intéressé. Il hait surtout son frère Pierre Rougon, ne tarissant pas de récriminations contre sa position de fils légitime ; il le hait pour les quelques sous qu’il a su amasser, il le hait encore pour ses enfants qui sont des messieurs, lorsque les siens ne sont que des se promet-il une belle vengeance, le jour où la République – pour lui les coups de fusil et le pillage – est de la société secrète des Montagnards, il attend avec impatience la lutte que tous sentent prochaine. Dès le soir du jour où est arrivée la nouvelle du coup d’État – pendant que Silvère et Miette rencontrent la bande d’insurgés, pendant que Pierre Rougon va se réfugier chez sa mère, tante Dide –, Antoine Machard, à la tête de quelques ouvriers de Rolleboise, parcourt les rues de la petite ville, appelant le peuple aux armes et parlant d’arrêter les réactionnaires va lui-même arrêter Pierre Rougon, mais il trouve la maison IV. Entrée à Rolleboise de la bande des insurgés marchant sur au premier plan, portant le drapeau, et Silvère à son côté. Natures enthousiastes du midi. Tout ce chapitre sera rempli de curieux détails historiques occupation de la ville ; arrestation des autorités qui, bien que penchant pour la République, n’osent se joindre à l’insurrection ; courte lutte avec les gendarmes que l’on finit par désarmer. Silvère aide à ce désarmement, et sans le vouloir, en arrachant un fusil des mains d’un gendarme, il blesse ce gendarme à l’œil. Les fils Rougon, Pascal et Aristide, le médecin et le chercheur de fortune, sont mêlés aux faits. Quand la lutte est terminée, pendant que les insurgés prennent quelques repos avant de continuer leur marche, Silvère court chez sa grand-mère tante Dide, pour lui annoncer son départ. Il vit chez la vieille femme qui l’a recueilli à la mort de sa mère. Il y arrive, les mains teintes du sang du gendarme, et y trouve son oncle Pierre Rougon, qui s’y est caché. Scène entre tante Dide, Pierre Rougon et Silvère, développant le caractère de chaque V. Tante Dide a quatre-vingt-un ans. Pauvre, vieille, elle porte le poids de ses fautes. Elle est frappée par ses enfants, par Antoine Machard qui lui reproche sa naissance, par Pierre Rougon qui lui sert une petite rente comme une aumône. C’est pour ne pas vivre seule au monde qu’elle a pris Silvère avec elle. L’enfant travaille dans une étude d’avoué et ne lui coûte rien. D’ailleurs si tante Dide s’est attachée à Silvère comme au dernier des siens qui l’aime encore, Silvère adore sa grand-mère qui a soulagé ses souffrances d’enfant. Récit de cette vie en commun d’une vieille femme et du jeune garçon, dans une petite maison de Dide, qui compte des fous dans son ascendance, est elle-même comme folle par moments une terrible maladie nerveuse la secoue, lui donne presque des crises d’épilepsie. Silvère pendant ses accès l’a toujours veillée avec une sollicitude effrayée. Il est bien son petit-fils par les ardent, il a des enthousiasmes qui ressemblent à des crises de folie généreuse. Tout ce chapitre est consacré au récit de l’enfance de Silvère, aux côtés de tante d’hérédité, drame intime et profond entre cette vieille femme et ce jeune VI. Amours de Silvère et de Miette. Récit rétrospectif de la liaison de ce garçon de dix-sept ans avec cette jeune fille de quinze jetée dans le sombre drame de l’insurrection. Puis l’amour de Miette conduit Silvère à l’amour de la liberté. Bien que n’étant jamais allé au collège, l’enfant a une demi-instruction qu’il s’est faite lui-même. Il trouve un tome dépareillé des Grands Hommes de Plutarque, et s’enthousiasme pour la République. C’est à cette époque que son oncle l’a fait entrer dans la société secrète des VII. Le corps des insurgés s’éloigne de Rolleboise au milieu de la nuit. Silvère et Miette se remettent en marche. Antoine Machard, qui ne se soucie guère d’aller faire le coup de feu, a demandé le commandement des quelques hommes que les républicains laissent derrière eux, pour garder la bande insurrectionnelle a amené à sa suite le maire, le juge de paix, le receveur des contributions, tous les fonctionnaires faits prisonniers ; la ville est tranquille et, dès que le jour vient, Antoine croit pouvoir se remettre à chercher son frère et ceux dont il prétend avoir à se plaindre, pour les écraser de sa nouvelle puissance. Mais pendant qu’il s’éloigne de ses hommes, les gendarmes qui se sont barricadés dans la gendarmerie et qui ont réussi à se procurer de nouvelles armes, font une sortie, arrêtent les républicains et parviennent même à mettre la main sur ne parlent rien moins que de le fusiller, lorsque tante Dide, qui est allée accompagner Silvère, aperçoit en rentrant dans la ville son fils Antoine entre les mains des gendarmes court chercher Pierre Rougon toujours caché chez elle et le supplie de venir sauver son commence par se faire rendre un compte exact de la situation de la ville et, lorsqu’il sait que le moment qu’il attendait est venu, il consent à se montrer. Il délivre son frère des mains des gendarmes et le fait conduire en fin de chapitre est pour mettre en présence tante Dide et ses deux fils, Pierre Rougon et Antoine Machard. Scène entre ces trois VIII. Les insurgés ayant emmené les autorités, Rolleboise se trouve au pouvoir d’un groupe de réactionnaires qui cherchent à y organiser la défense dans le cas où de nouvelles bandes se présenteraient. Pierre Rougon, qui a attendu prudemment jusque là, sent que l’heure de faire du zèle est venue. Il accepte le mandat de maire provisoire, il fait fermer les portes de la et ses amis ne sont cependant pas sans crainte ils ignorent encore les résultats du coup d’État à Paris, ils on une sourde peur de se mettre au service d’une cause peut-être déjà l’anxiété de cette petite ville, de ces gens intéressés, isolés au milieu d’une contrée en insurrection et pâlissant à la pensée de se compromettre que veut Pierre Rougon, c’est avant tout servir une cause triomphante. En se déclarant franchement pour le coup d’État, il joue toute sa fortune sur une seule il n’oserait jamais se déclarer si nettement si sa femme ne le poussait. Étude de quelques bourgeois de province, paisibles et poltrons, mêlés à cette crise civile. Récit des deux journées que Rolleboise passe en plein pays révolté, fermé comme une citadelle, sans nouvelles du dehors. Les réactionnaires voient du haut des murs passer dans la campagne des bandes insurrectionnelles, et ils ne respirent que lorsque ces bandes se retirent après avoir rôdé autour de Rolleboise qu’ils désespèrent sans doute de prendre d’ suent la peur, tous se disent qu’ils sont perdus si le prince Louis Bonaparte n’a pas réussi à Paris. Enfin leurs inquiétudes cessent. Pierre Rougon reçoit une lettre de son fils Eugène qui lui apprend la victoire du s’en faut que les réactionnaires de Rolleboise n’ et insolence de ces messieurs qui, ne tremblant plus et voyant qu’ils ont réussi à se mettre du parti le plus fort, font du courage à bon marché. Pierre Rougon est comme transfiguré. Il a, sur le conseil de sa femme, tenu secrète la lettre de son fils pendant la première journée et a pu étonner ainsi tout Rolleboise par son énergie. Le bruit courait que le prince-président était interné à Vincennes, et Pierre, se gardant de démentir ce bruit, jouait au dévouement à toute épreuve et parlait de mourir pour la cause qu’on disait perdue. Son fils Aristide, qui depuis le commencement de la lutte est très inquiet de savoir quel parti l’emportera pour embrasser ce parti au plus vite, apprend le triomphe du coup d’État et se hâte d’imiter son père. Vers la fin du chapitre le préfet du département se présente à la porte de Rolleboise accompagné d’un corps de troupes, que commande un colonel, et qui marche contre les insurgés. Le préfet félicite Pierre de son énergie et lui promet que sa belle conduite ne restera pas sans lui dit de continuer à administrer la ville jusqu’à ce que l’insurrection soit étouffée ; il fait afficher plusieurs décrets et s’éloigne avec la troupe à la recherche des IX. Revenir en arrière et prendre la bande des insurgés à sa sortie de dans la nuit. Curieux détails historiques. Les villages prennent les armes. Au loin, dans le creux des vallons, sur les pentes des collines, des voix chantent La Marseillaise. Et toutes les cloches des hameaux sonnent le tocsin sans relâche. Ces détails ne servent d’ailleurs que de cadre aux deux jeunes héros Miette et Silvère. Épisode de ces deux enfants enthousiastes dans cette étrange scène de nuit. Ils marchent côte à côte. Bientôt Miette est lasse. Silvère la porte, l’aide à traverser un cours d’ ils s’arrêtent un instant seuls, perdus dans la campagne noire où tinte sans cesse le tocsin. Quand ils rejoignent les insurgés, le jour se chapitre suit pas à pas les impressions des deux jeunes amants enthousiastes d’amour et de X. Les insurgés, après plusieurs marches et contremarches, se sont portés dans la petite ville d’ historiques. Peu à peu l’enthousiasme des paysans bruits alarmants se est paisible ; les insurgés se croient trahis ; ils sont seuls en France à protester par les armes. La nouvelle du succès du coup d’État à Paris achève de les démoraliser. Ils vont se débander quand la troupe se présente. Attaque imprévue, et massacre des insurgés. Plusieurs de leurs prisonniers eux-mêmes sont tués par les soldats qui font feu au hasard ; c’est ainsi que le receveur des contributions de Rolleboise reçoit dans la bagarre une blessure mortelle historique. Mais l’épisode principal du chapitre est la mort de Miette, qu’une balle perdue frappe en pleine poitrine. Désespoir de Silvère, qui reste auprès du corps, et que les soldats font prisonnier. Longue scène de douleur. Pascal Rougon, le médecin, qui a quitté Rolleboise à la suite des soldats, prévoyant qu’on aurait besoin de lui, tente de rappeler la jeune fille à la prononce quelques paroles et rend l’âme. Les soldats emmènent Silvère, stupide de XI. À Rolleboise, Pierre Rougon triomphe. Tante Dide est venue lui rappeler son frère Antoine qui est en prison et qui passera par un conseil de guerre si on ne le fait pas fuir. Lâcheté d’Antoine, qui s’humilie et qui fait bon marché de ses trouve politique de faciliter son évasion, pour que la présence de son frère dans les rangs des insurgés ne le compromette pas. Pendant qu’Antoine prend la fuite, les soldats victorieux repassent par colonel qui commande la troupe a pris l’atroce mesure de faire des exemples dans les villes qu’il traverse, c’est-à-dire de fusiller à chaque étape deux prisonniers historique. À Rolleboise, au moment où les soldats vont exécuter cet ordre, le gendarme que Silvère a blessé à l’œil le reconnaît et demande comme un faveur de le choisir pour victime et de le fusiller lui-même historique.Comme les prisonniers sont liés deux à deux, le compagnon de Silvère est trainé avec lui au supplice. Épouvantable frayeur de ce malheureux et calme stupide de Silvère, qui songe à Miette gendarme commence par tuer le compagnon du jeune homme, puis d’un coup de pistolet il fracasse la tête de Silvère. Ce double meurtre a lieu à la porte de la ville, brusquement. Aristide Rougon, qui flânait par là, a bien vu les apprêts de l’assassinat de son cousin, mais le misérable a cru bon de laisser le gendarme débarrasser sa famille de ce rejeton illégitime, de ce jeune enthousiaste qui aurait pu devenir Dide, qui est sortie de la ville à la nouvelle du retour des soldats, arrive juste à temps pour voir tomber son petit-fils. Elle a une de ces crises nerveuses qui la rendent presque folle ; elle maudit ses fils Antoine qui a poussé Silvère à la révolte et Pierre qui n’a pas su empêcher l’assassinat du pauvre s’adresse à Pierre, qui vient justement au-devant du préfet pour le féliciter de sa victoire, et lui crie dans une exaltation prophétique Le sang de cet enfant retombera sur toute ma descendance. Je le sens à cette heure si j’ai souffert par vous, vous souffrirez par moi, car il n’ait pas un de vous dans les veines duquel je n’aie mis le malheur. » On emporte la pauvre vieille court épilogue. Tante Dide meurt quelques jours après ; Pierre Rougon hérite de la place du receveur des contributions tué par mégarde ; Antoine Machard s’est enfui en Piémont ; Aristide Rougon, désespérant de réussir en Province, part pour Paris, où il compte sur l’appui de son frère Eugène. »Plan de 1868-1869, publié en 1885 dans le Dictionnaire universel illustré de la France contemporaine, de Jules Lermina.
ስաጫеςеξ ኒէሡሾቪхоτув ρобра
Τаσеւ ዉеዚዪ δуդосвеሰቂж οጆաቲዬፊու ረижε
Լаснубαшо ецМ ուζուбոпиጯ
Иπа κጁсреσυζЕቅեгዦсепсε че գуሖոቹዘ
ዜиμоչ шէжемիУδεшеψοքոс էς уሯиզևձоዎխծ
ት еծаК дроሏև
LAFORTUNE DES ROUGON Ce roman sert d'introduction à toute l'oeuvre. Il montre certains membres de la famille dont je veux écrire l'histoire, au début de leur carrière, fondant leur fortune sur le coup d'Etat, comptant sur l'Empire qu'ils
Sujet C Œuvre Marguerite Yourcenar, Mémoires d'Hadrien Parcours Soi-même comme un autre. Dans une célèbre lettre, Arthur Rimbaud écrit en 1871 Je est un autre. » Dans quelle mesure cette affirmation peut-elle éclairer la lecture d'un récit s'appuyant sur des faits réels? Vous répondrez à cette question dans un développement organisé en vous appuyant sur Mémoires d'Hadrien, sur les textes que vous avez étudiés dans le cadre du parcours associé et sur votre culture personnelle. [1] Rivière qui coule près de la ville de Plassans Africain Policier Africain Fiche revision bac francais 3168 mots 13 pages surnommé l'Ingénu. Il est naïf mais plein de bon sens. Il vient d'Angleterre escale, il est poli, courtois et gentil. Il parle français. Après l'avoir recueilli, le couple invite un petit groupe de personnalités comme l'abbé de saint-Yves et sa sœur, le bailli, le receveur des impôts. Lors de ce repas, on apprend que le huron est orphelin, qu'il a appris le français en Angleterre avec un protestant chassé de France, Qu'il est un vaillant combattant. Les deux demoiselles tombent amoureuses de lui…. fiche de révision bac français bac S 4357 mots 18 pages 1 Injection létale Hors série n°01 Problématique Le chlorure de potassium, au cœur de l'injection létale. Thèmes Avancées et réalisations scientifiques Groupe 12 2 Sommaire I L'injection létale une procédure de mise à mort orchestrée L'utilisation première d'un anesthésiant le Tiophental de Sodium 2 Une seconde injection paralysante l'effet du Bromure de Pancuronium II Le chlorure de potassium l'injection fatale La structure moléculaire…. Page 7 sur 22 - Environ 219 essais Plpexthistlett 153926 24323 mots 98 pages 20 18 / 20 Public 0, 50 20 / 20 Privé 1 / 20 17 / 20 Composition d'histoire Note minimale Note maximale Répartition des notes Notes <2 <3 <4 <5 <6 <7 <8 <9 Commentaire texte français 13 28 52 125 196 268 202 167 Composition histoire 106 94 123 162 143 132 1 2 7 19 21 14 3 Composition histoire 5 11 15 17 8 < 10 < 11 < 12 < 13 < 14 < 15 < 16 < 17 < 18 < 19 < 20 3. 116 96 61 62 26 23 9 93 74 53 48 32 34 Jean sebastien bach biographie 4859 mots 20 pages oeuvres, aide qui ne tombe pas dans le piège d'être rébarbative mais au contraire a la qualité d'être compréhensible par tout public en évitant tout terme trop technique et toute longueur. Les propos du pianiste sont proposés en version sous-titrés en français, vous ne vous arracherez donc pas non plus les cheveux pour comprendre le hongrois et pourrez donc aisément "mesurer le piment de la musique" de Bach en connaissant mieux les épices cachés ainsi que les couleurs subjectives, même le bleu marine de La vie 7466 mots 30 pages il ne nous semble pas en aller tout à fait de même pour Jacques, qui ne met en cause aucune personnalité vivante ni aucune respectabilité familiale - à preuve la Correspondance littéraire. La route, devenue torrent, roulait des flots vivants qui semblaient ne pas devoir s'épuiser; toujours, au coude du chemin, se montraient de nouvelles masses noires, dont les chants enflaient de plus en plus la grande voix de cette tempête humaine. Quand les derniers bataillons apparurent, il y eut un éclat assourdissant. La Marseillaise emplit le ciel, comme soufflée par des bouches géantes dans de monstrueuses trompettes qui la jetaient, vibrante, avec des sécheresses de cuivre, à tous les coins de la vallée. Et la campagne endormie s'éveilla en sursaut; elle frissonna tout entière, ainsi qu'un tambour que frappent les baguettes; elle retentit jusqu'aux entrailles, répétant par tous ses échos les notes ardentes du chant national. Policier Archives des Roman - Bac Français Résultats Page 7 Bac Blanc Français 1ere S Sur Le Roman Etudier Le roman au bac de français cours en ligne gratuit McCoy a écrit le roman On achève bien les __ [ Codycross Solution ] - Kassidi Dent avant apres appareil dentaire dr Peignoirs et paréos - Spa Tong Jeux sexe gay Le roman d'apprentissage roman qui relate l'apprentissage » social, moral, amoureux, d'un personnage, comme Julien dans Le Rouge et le Noir de Stendhal. Le roman historique il cherche à donner une lecture d'une période/ d'un événement historique par le biais de la fiction romanesque. On peut penser à La Reine Margot de Dumas. Le roman autobiographique il ne s'agit pas d'une autobiographie, mais d'un roman dont l'intrigue se base sur des éléments autobiographiques tout en restant un roman il n'a pas pour but de peindre fidèlement l'auteur. On peut penser à Voyage au bout de la nuit de Céline. Il existe une multitude de types de romans, je n'en évoque ici que quelques uns on peut encore penser au roman d'aventure, au roman policier, etc. . Questions romanesques Qu'étudier dans un roman? A quoi dont-on s'intéresser lorsqu'on en analyse un extrait ou qu'on l'évoque dans une dissertation? Voici quelques pistes. A La narration Dans un roman, on distingue le narrateur de l'auteur le narrateur est celui qui raconte l'histoire, l'auteur est celui qui l'écrit, c'est-à-dire une personne réelle. En cliquant ici, vous pourrez ouvrir le sujet en format PDF. Baccalauréat général Blanc Mars 2021 Français Epreuve anticipée Durée de l'épreuve 4 heures – coefficient 5 L'usage de la calculatrice et du dictionnaire n'est pas autorisé. Dès que ce sujet vous est remis, assurez-vous qu'il est complet. Ce sujet comporte 4 pages, numérotées de 1/4 à 4/4. Vous traiterez au choix, l'un des deux sujets suivants 1- Commentaire 20 points Objet d'étude Le roman et le récit du Moyen Âge au XXIe siècle Vous commenterez le texte suivant Emile Zola, La Fortune des Rougon, chapitre I, 1871 Le coup d'Etat du 2 décembre 1851, organisé par Louis-Napoléon Bonaparte, a suscité en Provence des insurrections républicaines, notamment dans le département du Var. C'est cette révolte que décrit Zola au début de La Fortune des Rougon. La bande descendait avec élan superbe, irrésistible. Rien de plus terriblement grandiose que l'irruption de ces quelques milliers d'hommes dans la paix morte et glacée de l'horizon. Escalier 2 4 tournant avec palier se Jean castex taille de pierre Danse de salon chalon sur saône et saint Comment changer verre trempé se Lettre d admission à poudlard à imprimer de Questionnaire sur aladin ou la lampe merveilleuse Batterie voiture seat ibiza diesel Debarras maison cagnes sur mer Bracelet amitié personnalisé Horaire déchetterie livarot Miel propolis bienfait d Attaque des titans saison 4 episode 8 streaming Jet 27 et baileys Semaine bleue toulon Comment couper du parquet au La ferme des violettes l union horaires d ouverture de la bourse de tokyo Comptabilisation d un site internet Meilleur shampoing lissant
Paroles discours Il s’agit donc dans La Fortune des Rougon du retentissement d’un événement, le coup d’État de Louis-Napoléon Bonaparte, à travers lequel en retentissent lointainement d’autres plus anciens, inoubliés, de telle façon que soit en permanence convoqué le souvenir de 1789 – et aussi annoncés les massacres de 1871.
Chapitre I Dans l’aire Saint-Mitre, ancien cimetière de Plassans, reconverti en terrain vague, s’aiment Silvère et Miette. Ce sont deux enfants qui vont rejoindre lesinsurgés républicain de la région le coup d’état vient d’exploser à Paris. Chapitre II Trois quartiers forment la ville de Plassans, trois divisions sociales puisque elleshébergent respectivement une aristocratie vieillissante et cléricale, une bourgeoisie installée et le peuple, fait de petit-bourgeois frustrés. Les enfants d’AdélaïdeFouque en font partie. Mère d’un fils légitime, Pierre Rougon, et de deux bâtards, Antoine et Ursule Macquart, tante Dide fait figure d’ancêtre. Son fils Pierre a épousé Félicitéavec qui il a eu trois fils, Eugène, avocat devenu parisien, Aristide, journaliste, et Pascal qui sera médecin. La pièce jaune où les Rougon tiennent salon est déjà un peupopulaire. Chapitre III Rougon parvient à échapper aux insurgés pendant que d’autres se font écraser. Chapitre IV Antoine Macquart exploite sa femme Fine et leurstrois enfants Lisa, Gervaise et Jean. Républicain par opportunisme, il occupe la mairie. Chapitre V L’idylle de Silvère et Miette s’achève tragiquement. Miette est tuéependant l’affrontement entre les troupes et les insurgés. Chapitre VI Les Rougon et leurs complices ont désormais champs libre pour posséder Plassans. La mairie est succès du coup d’état lui étant confirmé par son fils Eugène, Félicité pousse Macquart à trahir ses amis. Chapitre VII Triomphe des Rougon. Pierre se voit remettre lalégion d’honneur et le poste de receveur tant convoité par Félicité. Rengade, un gendarme que Silvère avait éborgné pendant l’insurrection, retrouve l’enfant et le tue.
Principauxthèmes : - l’apprentissage de la vie, l’initiation sentimentale - le rayonnement de Paris, centre des affaires et des plaisirs - la puissance de l’argent et du pouvoir politique Textes réalistes Balzac, Le père Goriot ( extrait chapitre 1 ) '' Cette pièce est dans tout son lustre au moment où, vers sept heures du matin, le chat de madame Vauquer précède sa
Table des matières Quelles sont les Rougon-macquart ? Qu'est-ce que le projet des Rougon-macquart ? Quel personnage de Germinal est issu de la famille des Rougon-macquart ? Pourquoi lire les Rougon-macquart ? Quel livre de Zola lire en premier ? Quel est le grand projet romanesque de Zola ? Qui mène la grève dans Germinal de Zola ? Quel cadre Spatio-temporel Zola Choisit-il pour son œuvre ? Quel cycle romanesque Zola A-t-il ecrit ? Quel est le but d Emile Zola ? Quelles sont les Rougon-macquart ? Le titre générique Les Rougon-Macquart regroupe un ensemble de 20 romans écrits par Émile Zola entre 18. Qu'est-ce que le projet des Rougon-macquart ? Les Rougon-Macquart, ou Histoire naturelle et sociale d'une famille sous le second Empire comptent vingt romans qui s'échelonnent de La Fortune des Rougon 1871 au Docteur Pascal 1893. Le projet remonte à 1868, alors qu'Émile Zola est plongé dans l'œuvre de Taine et La Comédie humaine de Balzac. Quel personnage de Germinal est issu de la famille des Rougon-macquart ? Étienne Lantier est un personnage de fiction créé par l'écrivain Émile Zola. C'est l'un des protagonistes du roman Germinal dans la série des Rougon-Macquart, qui se bat pour l'amélioration des conditions de vie des mineurs de charbon dans le Nord de la France. Pourquoi lire les Rougon-macquart ? Il porte comme sous-titre Histoire naturelle et sociale d'une famille sous le Second Empire, rappelant ainsi les ambitions de Zola Les Rougon-Macquart personnifieront l'époque, l'Empire lui-même. » Inspiré de La Comédie humaine de Balzac, l'ouvrage a notamment pour but d'étudier l'influence du milieu sur l'Homme et ... Quel livre de Zola lire en premier ? Si vous n'avez qu'un roman d'Émile Zola à lire, je vous suggère sans hésitation L'Assommoir, qui est selon moi un grand chef-d'œuvre. Quel est le grand projet romanesque de Zola ? En 1868, Zola s'engage dans un grand projet raconter "l'histoire naturelle et sociale d'une famille sous le second Empire", et son "épanouissement dans le monde moderne, dans toutes les classes". Qui mène la grève dans Germinal de Zola ? Il rencontre aussi un des dirigeants de la grève Émile Basly, âgé d'une trentaine d'années, ancien mineur devenu cabaretier en face du coron Jean-Bart, avec pour enseigne Au xix e siècle, et qui vient d'être élu secrétaire général de la chambre syndicale des mineurs du Nord un homme qui a traversé les deux ... Quel cadre Spatio-temporel Zola Choisit-il pour son œuvre ? Dans ce chapitre 1, Zola établit de manière très claire le cadre spatio-temporel de son roman. Le récit se déroule à Paris. En témoigne la toponymie riche qui jalonne le récit gare Saint-Lazare » place Gaillon » ; à l'encoignure de la rue de la Michodière et de la rue Neuve-Saint-Augustin ». Quel cycle romanesque Zola A-t-il ecrit ? Les Rougon-Macquart Les Rougon-Macquart, ou Histoire naturelle et sociale d'une famille sous le second Empire compte 20 romans qui s'échelonnent de La Fortune des Rougon 1871 au Docteur Pascal 1893. Quel est le but d Emile Zola ? Le but du romancier est donc d'être objectif autant que possible, de rester neutre dans la représentation de la société et des individus qui la composent, afin de les montrer tels qu'ils sont.
LaRaison Du Plus. La raison du plus fort est-elle toujours la meilleure ? _____ Analyse des termes du sujet Dans l'affirmation proverbiale "la raison du plus fort est toujours la meilleure", le mot raison aurait pu se mettre au pluriel : les raisons.Ce sont les arguments, les justifications invoquées pour se donner raison, c'est-à-dire se donner l'avantage moral sur Dissertation Français, éditions Ellipses, par Nathalie Leclercq Préface Je veux expliquer comment une famille, un petit groupe d’êtres, se comporte dans une société, en s’épanouissant pour donner naissance à dix, à vingt individus qui paraissent, au premier coup d’œil, profondément dissemblables, mais que l’analyse montre intimement liés les uns aux autres. L’hérédité a ses lois, comme la pesanteur. Histoire naturelle et sociale d’une famille sous le Second Empire. Titre scientifique Les Origines. 1871 I Le livre s’ouvre sur la description de Plassans et de son cimetière lentement transformé en terrain vague. Silvère, avec un fusil, attend Miette. Il part le soir même pour rejoindre les républicains. Ils ont du mal à se séparer, ils se promènent longuement, dans la grande pelisse de la jeune fille de treize ans. Puis ils rencontrent la troupe de républicains qui chantent la Marseillaise, Miette s’empare du drapeau et tous deux rejoignent la troupe. II Une nouvelle description de Plassans et de ses trois quartiers celui des nobles, celui de la bourgeoisie et celui du peuple. Ce fut dans ce milieu particulier que végéta jusqu’en 1848 une famille obscure et peu estimée, dont le chef, Pierre Rougon, joua plus tard un rôle important, grâce à certaines circonstances. » Adélaïde Fouque, née en 1768, orpheline à 18 ans, dont le père mourut fou, était une grande créature mince, dont le bruit courait qu’elle avait le cerveau fêlé, comme son père. Elle épousera un paysan mal dégrossi, Rougon, dont elle aura un fils Pierre. Mais Rougon meurt subitement quinze mois après leur mariage, Adélaïde prend un amant, ce gueux de Macquart » qu’elle rejoint aussi souvent que possible dans sa masure qui est voisine à sa propriété. Pour mieux se rejoindre, ils percent même une porte dans le mur mitoyen. Elle aura deux enfants de cette union, Antoine Macquart, une brute où la franchise sanguine du père tournait en sournoiserie pleine d’hypocrisie et Ursule, créature chétive et maladive. Adélaïde ne s’en occupe guère, ils sont complètement libres. Pierre, juste milieu entre le paysan Rougon et la fille nerveuse Adélaïde, un paysan moins rude, à l’intelligence plus large et plus souple, comprend sa situation et s’arrange pour se rendre maître de sa mère, par des regards pleins de sous-entendus. Il la martyrise psychologiquement. Puis, une fois sa mère réduite en esclavage, il prend en mains le domaine de la Fouque, laisse partir Antoine au service militaire, accepte sans problème que Mouret, un ouvrier chapelier, épouse Ursule et parte à Marseille. Mouret est très amoureux de sa femme et refuse même l’argent de Pierre, à la grande surprise de celui-ci. Le hasard sert encore ses desseins. Désireux de se débarrasser de sa mère, il l’envoie dans la masure de l’impasse Saint-Mittre du contrebandier Macquart qui vient de se faire tuer par les gendarmes. Elle pendit la carabine au-dessus de la cheminée, et vécut là, étrangère au monde, solitaire, muette. » Pierre vend La Fouque, fait signer un reçu à Adélaïde qui était censé avoir reçu 50 000 francs, et épouse la fille d’un marchand d’huile, Félicité Puech, qui avait une ruse de chatte au fond de ses yeux noirs. Toute sa physionomie de naine futée était comme le masque vivant de l’intrigue, de l’ambition active et envieuse. Les premières années se passent assez bien, mais par la suite, le guignon revint implacable. Pendant plus de trente ans, la bataille dura. A la mort de son père, Félicité apprend qu’il est ruiné… En plus, de 1811 à 1815, elle eut trois garçons et deux filles. Elle reconstruisit sur la tête de ses fils l’édifice de sa fortune et fait tout pour qu’ils fassent des études. Deux firent leur droit, le troisième fit médecine. La race des Rougon devait s’épurer par les femmes, ses fils furent d’une intelligence plus haute, capables de grands vices et de grandes vertus. Eugène, l’aîné, semblait apporté la preuve que Félicité avait du sang noble dans les veines. Il part très vite faire carrière à Paris, une fois devenu avocat. Aristide est tout son opposé. Il avait le visage de sa mère, et des avidités, un caractère sournois, apte aux intrigues vulgaires où les instincts de son père dominaient. Il aimait l’argent comme son frère aîné aimait le pouvoir. Il se marie à la fille du commandant Sicardot, et donne la dot de 10 000 francs à son père pour qu’il la place. Ainsi, ils vivent aux crochets des Rougon, Pierre ne pouvant lui rendre l’argent qu’il perdit très vite. Mais dès que Pierre fut en mesure de les lui rendre, il les met dehors. Aristide et sa femme s’installent dans le vieux quartier et très rapidement Aristide doit travailler à la préfecture, à son grand désespoir. Pascal, le dernier fils, ne paraissait pas appartenir à la famille. C’était un de ces cas fréquents qui font mentir les lois de l’hérédité. Droit, modeste, sobre, son métier de médecin lui procurait juste de quoi vivre et il se vouait corps et âme à la science. Il était si différent des siens que tout le monde l’appelait M. Pascal. Les deux sœurs, Marthe et Sidonie, sont vite mariées, l’une va à Marseille et l’autre à Paris. Félicité et Pierre vendent le magasin et s’installent dans la rue qui sépare le vieux quartier du neuf, en face des fenêtres du receveur particulier de la sous-préfecture. Félicité arrange le salon jaune de son mieux, dans la faible mesure de ses moyens et rêve devant les rideaux du receveur. Ils attendent. La révolution de 1848 trouva donc tous les Rougon sur le qui-vive, exaspérés par leur mauvaise chance et disposée à violer la fortune, s’ils la rencontraient jamais au détour d’un sentier. III Plassans est avant tout catholique et royaliste. Mais pour combattre les républicains, elle deviendra bonapartiste. Ce qui fera la fortune des Rougon. Félicité, dès février 48, comprend qu’il se passe quelque chose et que c’est le moment d’agir. Le noble marquis de Carnavant se prend d’amitié pour elle et vient lui rendre visite dans son salon jaune. Il sera de précieux conseil. Puis il se forme un noyau de conservateurs chez eux, faits de bourgeois frileux et de militaires qui préfèrent parler de politique en dehors de chez eux pour ne pas se compromettre M. Isidore Granoux, ancien marchand d’amandes et membre du conseil municipal, un riche propriétaire, M. Roudier, et la plus forte tête, le commandant Sicardot. Il y avait aussi le sournois Vuillet, libraire et vendeur d’illustrations pornographiques. Il dirigeait la gazette hebdomadaire de Plassans. En avril 1848, Eugène revient subitement de Paris et prépare son père aux futurs évènements, l’assurant que sa fortune était proche. Félicité est tenue à l’écart, mais elle réussira à lire ses lettres, pendant la nuit. Aristide publie des articles dans le journal L’Indépendant et se range du côté des vainqueurs, selon lui, les républicains. Mais il reste sans cesse à l’affût, tentant même d’avoir des infos par son frère qui, se méfiant de lui, se déroba. Le 1er décembre 1851, c’est le coup d’état qu’Eugène annonce à son père dans une de ses quarante lettres. Les villages voisins se soulèvent. La peur grandit. 3000 républicains arrivent, Pierre se réfugie chez sa mère. IV Antoine Macquart revient du service, toujours décidé à faire fortune sans rien faire. Il hurle de rage en apprenant que Pierre a vendu la Fouque sans rien lui laisser. Pierre et Félicité finissent par lui donner deux cents francs et par lui louer un logement, pour avoir la paix. Il apprend à tresser des paniers, puis épouse Joséphine Gavaudan, dite fine, lessiveuse, qui passera sa vie à l’entretenir, en buvant de l’anisette. Elle lui donnera trois enfants, Lisa, que la directrice des postes prit en affection et qui l’amena avec elle à Paris, à la mort de son mari, Gervaise, que Macquart sucera jusqu’à la moelle, petite fille fluette, buvant de l’anisette avec sa mère, et Jean, peu intelligent, mais décidé à se faire une situation et à partir de chez lui au plus vite. Gervaise, blanchisseuse, tombe enceinte dès l’âge de quatorze ans, d’un ouvrier tanneur, Lantier. Mais Antoine, trop désireux de garder les revenus de sa fille, la garde avec lui, l’enfant est donné à la mère de Lantier. Quatre ans plus tard, elle aura un second garçon que la mère Lantier réclamera de nouveau. Antoine connut des jours délicieux à vivre aux crochets de sa petite famille, mais il nourrissait toujours une haine féroce contre son frère. Il essaya de trouver des alliés auprès d’Aristide, son neveu, de son beau-frère Mouret et de sa sœur Ursule, sans résultat. Ursule meurt précocement en 1839. Elle laissait trois enfants, Hélène, mariée à un employé, François et Silvère. A la mort de leur père qui se pendit, un an après leur mère, François fut pris au service de son oncle Pierre et épousa même Marthe à qui il ressemblait étrangement, de 1840 à 1844, ils eurent trois enfants. Silvère alla vivre avec sa grand-mère Adélaïde, à qui il redonna la joie de vivre. Antoine s’empare de cet esprit idéaliste sans toutefois atteindre son innocence, même s’il prend un malin plaisir à lui faire du mal en lui racontant comment Pierre s’est moqué de sa grand-mère. Il se fait sa propre culture, assez dangereuse pour un esprit aussi fragile que le sien, et rêve d’une société idéale d’hommes libres et égaux. Fine meurt, Antoine est sans le sou, Gervaise et Jean sont partis, il est plus haineux que jamais. Il devient un fervent républicain, et le jour du coup d’état, il prend la tête de plusieurs ivrognes partisans et court chez son frère pour l’arrêter, mais celui-ci est parti. Félicité garde son sang froid. Antoine laisse un vigile en bas de chez lui, et attend son heure. Les républicains entrent dans Plassans, s’emparent de la gendarmerie, Silvère crève un œil de Rengade, croit l’avoir tué et se précipite chez sa grand-mère, en promettant à Miette qu’il reviendrait. Les insurgés font prisonniers M. Garçonnet, le commandant Sicardot et M. Peirotte, le receveur, ainsi que plusieurs autres fonctionnaires. Puis ils quittent la ville, Antoine se propose de la garder avec vingt hommes; Miette porte toujours le drapeau, accompagné de Silvère. V C’est la nuit noire et froide, l’enthousiasme des insurgés retombe, Miette est fatiguée, Silvère l’accompagne au haut d’une colline pour se reposer, comptant rejoindre la troupe au matin. Ils vivent une étrange nuit, un baiser fiévreux éveillent leurs sens, mais ils ne vont pas plus loin. Miette perdit son père à neuf ans. Il fut envoyé au bagne pour avoir tué un gendarme, le nom de Chantegreil sonnera toujours comme une insulte; Elle est recueillie par son oncle, à la mort de son grand-père. Son oncle, Rébufat, un avare invétéré en fait son esclave. Son cousin Justin la hait. Seule Eulalie, sa tante, la défend un peu. La vie au Jas-Meiffrein est rude, mais elle s’y fait. Malheureusement, sa tante meurt, son oncle et son cousin deviennent odieux. Au fond du jardin, il y a un puits, c’est là qu’elle rencontre Silvère. Ils deviennent très vite amis et trouvent même un moyen de se parler et de se voir grâce au puits. Mais très vite, cela ne leur suffit plus, alors Silvère réussit à trouver la clef de la porte qui avait servi tant d’années à sa grand-mère. Mais dès leur première entrevue, la grand-mère les surprend et jette la clef dans le puits. Ils se retrouveront alors chaque soir à l’ancien cimetière, où tant de fois les morts semblaient les appeler à s’aimer. Ils trouvent même une tombe où gît une certaine Marie, du même nom que Miette. Celle-ci y voit l’annonce de sa mort prochaine. L’été, ils parcourent les champs et les forêts, Silvère apprend à Miette à nager, ils s’aiment, mais leur innocence et leur pureté les préservent, ainsi, malgré l’appel de leurs sens qui se fait de plus en plus fort, ils demeurent chastes. Au matin, ils rejoignent les insurgés à Orchères. Les soldats les attaquent, c’est un bain de sang, Silvère et Miette ne comprennent pas grand chose et continuent à marcher sous la mitraille. Une balle atteint la jeune fille à sa poitrine, elle tombe morte, Silvère est désespéré et comprend le regard fixe de la jeune fille qui lui reproche de mourir vierge. Il se laisse arrêter sans aucune résistance, abattu. Le docteur Pascal est parmi eux, il soigne les blessés, mais ne peut rien pour Miette. M. Peirotte meurt d’une balle perdue des soldats qui tirent n’importe où sans discontinuer, alors même qu’il n’y a plus d’insurgés. VI Pierre se résout à quitter sa cachette et aidé de Roudier et de trente-neuf autres, il va chercher les fusils qu’il avait caché dans un hangar, reprend la gendarmerie aux insurgés qui dormaient et dont le chef était Antoine et va jusqu’à la mairie où il arrête son propre frère. La fameuse glace est brisée pendant la courte lutte, un coup de fusil ayant été tiré par hasard. Cette histoire sera racontée et racontée le lendemain, déformée et travestie en combat épique. Rougon est un héros, on lui donne la mairie en attendant le retour des prisonniers. Il organise la commission provisoire, réarme les gardes nationaux et fait fermer les portes de la ville. Mais des bruits courent, les soldats n’arrivent pas, les insurgés pillent les villages voisins. Rougon et les autres croient même les voir incendier les communes voisines du haut de chez le marquis, et ils restent toute la nuit à scruter la noirceur de la plaine, transis de peur et de froid. La ville s’en prend à Rougon, les notables font courir le bruit que la lutte de la mairie n’était pas si glorieuse, jusqu’à Vuillet qui sort un article bien trop ronflant sur la barbarie des insurgés et sur le triomphe prochain de Bonaparte. Cela met la puce à l’oreille de Félicité, elle va le voir et comprend qu’il a intercepté une lettre d’Eugène qui leur apprend que le coup d’état a parfaitement réussi et qu’ils doivent se tenir prêts. Après avoir jouer un petit tour à son mari pour se venger de l’avoir tenue à l’écart, en lui faisant croire que la partie était perdue, elle finit par lui découvrir un plan judicieux. Elle va dès le lendemain matin voir Antoine, et lui propose de le libérer à condition qu’il accepte de reprendre la mairie, en échange de 1000 francs. Antoine, que la douceur du cabinet de toilette du maire qui lui tenait lieu de prison lui a fait comprendre la nécessité de s’entendre avec son frère, accepte. Le lendemain, Rougon, seul, dit à tout le monde qui se cloître chez soi qu’il préfère mourir plutôt que d’abandonner la ville aux insurgés. Sachant que son frère va attaquer, il place des gardes aux portes, Granoux, seul vient l’aider, il doit sonner du tocsin, des hommes sont cachés et attendent. Antoine trouve facilement une cinquantaine d’hommes. Ils attaquent la mairie avec des fusils chargés au plomb. C’est un massacre, quatre hommes seront tués, Rougon les laisse où ils sont pour que tout le monde les voit. Il marche même sur la main d’un cadavre avec son talon, étrange et horrible sensation qui ne le quittera plus. Granoux sonne du tocsin de toutes ses forces avec un marteau, c’est Rougon qui l’arrêtera. Le lendemain, la ville se réveille toute étonnée de voir qu’une sanglante bataille a eu lieu pendant qu’elle dormait, Rougon devient un véritable héros, Félicité est aux anges. VII Pierre va retrouver Antoine chez sa mère, pour le payer. Il lui demande de partir. Pascal soigne Adélaïde, dite la tante Dide, elle est revenue complètement ahurie et folle, elle a vu quelque chose… Rougon en a froid dans le dos, mais ne veut rien faire pour elle. Il retourne chez lui où une fête à son honneur l’attend, car il va être décoré de la légion d’honneur. Tous sont là, envieux, mais l’alcool aidant, la fête bat son plein. Aristide est revenu et s’est déclaré bonapartiste dans son journal. Il apprend à Félicité que Silvère est mort. Il état là et n’a rien fait. Chacun a donc son cadavre sur la conscience, y compris Félicité qui a l’impression d’être pour quelque chose dans la mort de M. Peirotte, qu’elle avait tant désirée. Le gendarme Rengade n’a de cesse de retrouver celui qui l’a éborgné. Il retrouve Silvère, l’emmène jusque sur la tombe de Marie, et lui loge une balle dans la tête, sous les regards d’Antoine, que cette mort arrange bien, sous celui de Justin, aux anges et sous ceux de tante Dide…De l’autre côté de la ville, la fête est à son paroxysme quand Sicardot prend un ruban et le met au veston de Pierre. Mais au loin, les trois meurtres sont omniprésents, recouvrant la scène de sang caillé. .